Les frontières mauriciennes sont rouvertes… après 16 mois. Depuis leur fermeture le 20 mars 2020, seuls les Mauriciens bloqués ailleurs ont pu rentrer au pays. Ce jeudi marque donc une réouverture très attendue.
Des eaux turquoise et du sable blanc... mais sans touristes. Du jamais vu depuis des décennies dans cette île normalement prise d’assaut mais qui ressemble aujourd'hui à une île déserte. Sous cloche depuis plus d'un an et demi, le comité santé présidé par le Dr Joomaye, conseiller "bénévole" au Bureau du Premier ministre et nominé politique, semble connaître ses limites avec des experts qui ne cessent de se vanter d'une gestion de crise exemplaire mais qui s'apparente au chaos.
La troisième vague frappe de plein fouet le pays, avec en moyenne près de 50 à 60 cas par jour. Le pays est toujours quadrillé en zones rouges avec l'apparition de clusters malgré des conditions drastiques de la liberté de mouvements. Les hôtels transformés en centre de quarantaine ont accueilli depuis le début de l'année 12 000 personnes dans le cadre du contact tracing. Un budget de plus de Rs 500 millions alloué à ce système qui connait chaque jour ses limites. Il faut aussi rappeler, la mise en lumière des contrats aux petits copains durant le confinement et de l'argent publique jeté par les fenêtres avec le scandale des respirateurs artificiels.
Une drôle de réouverture
Les touristes peuvent de nouveau venir à Maurice, qu’ils soient vaccinés ou non-vaccinés. Mais il ne faut pas se leurrer. Les autorités s’attendent à recevoir davantage les Mauriciens établis à l’étranger et les étudiants.
Cette première phase de réouverture durera jusqu’au 30 septembre. Durant cette période, les touristes vaccinés resteront confinés dans l’hôtel pendant 14 jours s’ils ont un test négatif à leur arrivée. C’est après qu’ils pourront visiter l’île. Quant aux touristes non-vaccinés, ils devront demeurer dans leur chambre d’hôtel. Après 14 jours, si leur test PCR est négatif, ils pourront découvrir le pays
Des eaux turquoise et du sable blanc... mais sans touristes. Du jamais vu depuis des décennies dans cette île normalement prise d’assaut mais qui ressemble aujourd'hui à une île déserte. Sous cloche depuis plus d'un an et demi, le comité santé présidé par le Dr Joomaye, conseiller "bénévole" au Bureau du Premier ministre et nominé politique, semble connaître ses limites avec des experts qui ne cessent de se vanter d'une gestion de crise exemplaire mais qui s'apparente au chaos.
La troisième vague frappe de plein fouet le pays, avec en moyenne près de 50 à 60 cas par jour. Le pays est toujours quadrillé en zones rouges avec l'apparition de clusters malgré des conditions drastiques de la liberté de mouvements. Les hôtels transformés en centre de quarantaine ont accueilli depuis le début de l'année 12 000 personnes dans le cadre du contact tracing. Un budget de plus de Rs 500 millions alloué à ce système qui connait chaque jour ses limites. Il faut aussi rappeler, la mise en lumière des contrats aux petits copains durant le confinement et de l'argent publique jeté par les fenêtres avec le scandale des respirateurs artificiels.
Une drôle de réouverture
Les touristes peuvent de nouveau venir à Maurice, qu’ils soient vaccinés ou non-vaccinés. Mais il ne faut pas se leurrer. Les autorités s’attendent à recevoir davantage les Mauriciens établis à l’étranger et les étudiants.
Cette première phase de réouverture durera jusqu’au 30 septembre. Durant cette période, les touristes vaccinés resteront confinés dans l’hôtel pendant 14 jours s’ils ont un test négatif à leur arrivée. C’est après qu’ils pourront visiter l’île. Quant aux touristes non-vaccinés, ils devront demeurer dans leur chambre d’hôtel. Après 14 jours, si leur test PCR est négatif, ils pourront découvrir le pays
