En conférence de presse ce mercredi 11 novembre, le ministre des Finances, Renganaden Padayachy a présenté un programme d’emploi et de formation visant 22 000 chômeurs.
Selon toute vraisemblance selon ses propres conclusions, il a indiqué qu’il y a un redressement de l’économie et que Maurice s’attend un taux de croissance de 10% en 2021. « Le Fonds Monétaire International prévoit une croissance positive de 10 % pour Maurice en 2021 »
« Nous avons fait face à beaucoup de pressions. Il y a eu pression pour rouvrir le pays et changer les protocoles sanitaires. Nous avons résisté ».
Se calquant sur les discours du Premier ministre, il a maintenu que le gouvernement a considéré la santé de la population en premier malgré les pressions. Renganaden Padayachy a également déploré que certains opérateurs demandent la possibilité de licencier alors qu'ils bénéficient du Wage Assistance Scheme. A ses côtés le ministre du Travail, Soodesh Callichurn a précisé que les employeurs ont l’obligation de payer le boni de fin d’année et qu’il n’a pas l’intention de changer la loi à ce sujet. « Bonis se enn drwa pou bann travayer ».
Guerre ouverte avec la Mauritius Investment Corporation (MIC)
Renganaden Padayachy déclare : « On vous donne la garantie que la Banque de Maurice n’accordera pas une seule roupie si les hôteliers mettent les gens à la porte. Bref, la MIC ne prêtera pas aux entreprises qui vont licencier ».
« L’État a déboursé Rs 13 milliards pour sauvegarder les emplois des 476 382 salariés »
Maurice fait face à une explosion du chômage, les chiffres à la fin du mois d’août s’élèvent à 31 494 chômeurs soit 8 301 de plus qu'avant le début du confinement, soit 23 193 chômeurs au mois de février 2020.
Création de 23 000 emplois à court terme avec entre autre une série de formations qui bénéficiera à 9 000 personnes. Elles seront recrutées par la suite dans les secteurs appropriés. L’État déboursera Rs 550 millions.
1 000 pêcheurs seront embauchés par le Mauritius Oceanography Institute et l’Albion Fisheries Research Centre, pour la conservation des coraux et l’élevage des poissons, a avancé Soodesh Callichurn.
Selon toute vraisemblance selon ses propres conclusions, il a indiqué qu’il y a un redressement de l’économie et que Maurice s’attend un taux de croissance de 10% en 2021. « Le Fonds Monétaire International prévoit une croissance positive de 10 % pour Maurice en 2021 »
« Nous avons fait face à beaucoup de pressions. Il y a eu pression pour rouvrir le pays et changer les protocoles sanitaires. Nous avons résisté ».
Se calquant sur les discours du Premier ministre, il a maintenu que le gouvernement a considéré la santé de la population en premier malgré les pressions. Renganaden Padayachy a également déploré que certains opérateurs demandent la possibilité de licencier alors qu'ils bénéficient du Wage Assistance Scheme. A ses côtés le ministre du Travail, Soodesh Callichurn a précisé que les employeurs ont l’obligation de payer le boni de fin d’année et qu’il n’a pas l’intention de changer la loi à ce sujet. « Bonis se enn drwa pou bann travayer ».
Guerre ouverte avec la Mauritius Investment Corporation (MIC)
Renganaden Padayachy déclare : « On vous donne la garantie que la Banque de Maurice n’accordera pas une seule roupie si les hôteliers mettent les gens à la porte. Bref, la MIC ne prêtera pas aux entreprises qui vont licencier ».
« L’État a déboursé Rs 13 milliards pour sauvegarder les emplois des 476 382 salariés »
Maurice fait face à une explosion du chômage, les chiffres à la fin du mois d’août s’élèvent à 31 494 chômeurs soit 8 301 de plus qu'avant le début du confinement, soit 23 193 chômeurs au mois de février 2020.
Création de 23 000 emplois à court terme avec entre autre une série de formations qui bénéficiera à 9 000 personnes. Elles seront recrutées par la suite dans les secteurs appropriés. L’État déboursera Rs 550 millions.
1 000 pêcheurs seront embauchés par le Mauritius Oceanography Institute et l’Albion Fisheries Research Centre, pour la conservation des coraux et l’élevage des poissons, a avancé Soodesh Callichurn.