Il ne manquait qu’elle ! Dans une lettre datée de mercredi, dont le leader de l’opposition a rapidement eu une copie, adressée au bureau du commissaire électoral, l’ancienne présidente de la République évoque son exaspération du manque de sérieux et de « l’incompétence » du personnel d’Irfan Rahman.
Ameenah Gurib-Fakim affirme que depuis 2019, à chaque fois que les officiers viennent procéder au recensement électoral à son domicile, elle les informe que son fils Adam Fakim n’est pas à Maurice depuis 2008. Et ce, de ce fait, son nom devrait être rayé du registre électoral. Elle affirme qu’en 2019, elle a été surprise de constater, le jour du scrutin, que le nom de son fils y figurait toujours. Elle affirme qu’en 2020, ce fut la même chose. Idem en 2021. Elle affirme qu’à un moment, on a inscrit que son fils n’était pas au pays depuis 2018 alors qu’elle soutient qu’il n’y est pas depuis 2008.
De ce fait, en 2022, soit il y a quelques jours, elle a refusé de collaborer tant que le problème n’aura pas été réglé. Ameenah Gurib-Fakim en profite pour poser quelques questions au commissaire électoral. Elle veut notamment savoir ce qui se passe lorsque les habitants d’une maison ne sont pas là au moment où les officiers passent. « Est-ce que leurs noms sont rayés du registre comme ce fut le cas en 2019 ? » Ameenah Gurib-Fakim soutient qu’il est clair que la confiance du public dans l’organisme (bureau du commissaire électoral) s’est érodée. Joli coup d’Ameenah. On la croyait désarçonnée sur le cheval du tandem Jugnauth-Collendavelloo, voilà qu’elle se remet en selle chez l’écurie Duval, qui rime souvent avec Ramgoolam !
Ameenah Gurib-Fakim affirme que depuis 2019, à chaque fois que les officiers viennent procéder au recensement électoral à son domicile, elle les informe que son fils Adam Fakim n’est pas à Maurice depuis 2008. Et ce, de ce fait, son nom devrait être rayé du registre électoral. Elle affirme qu’en 2019, elle a été surprise de constater, le jour du scrutin, que le nom de son fils y figurait toujours. Elle affirme qu’en 2020, ce fut la même chose. Idem en 2021. Elle affirme qu’à un moment, on a inscrit que son fils n’était pas au pays depuis 2018 alors qu’elle soutient qu’il n’y est pas depuis 2008.
De ce fait, en 2022, soit il y a quelques jours, elle a refusé de collaborer tant que le problème n’aura pas été réglé. Ameenah Gurib-Fakim en profite pour poser quelques questions au commissaire électoral. Elle veut notamment savoir ce qui se passe lorsque les habitants d’une maison ne sont pas là au moment où les officiers passent. « Est-ce que leurs noms sont rayés du registre comme ce fut le cas en 2019 ? » Ameenah Gurib-Fakim soutient qu’il est clair que la confiance du public dans l’organisme (bureau du commissaire électoral) s’est érodée. Joli coup d’Ameenah. On la croyait désarçonnée sur le cheval du tandem Jugnauth-Collendavelloo, voilà qu’elle se remet en selle chez l’écurie Duval, qui rime souvent avec Ramgoolam !