Il arrive que même l’épine la plus incommodante dans la chaussure du gouvernement jette l’éponge. Raouf Khodabaccus en a marre.
Vendredi, il a tenu sa dernière manifestation contre la hausse des prix des carburants. Devant les Casernes centrales, il a effectué son chant du cygne. Il a affirmé qu’il met fin à sa campagne de protestation pacifique en raison du manque de soutien affiché par les Mauriciens. C’était à prévoir !
Rappelons qu’il avait l’idée de tenir une manifestation devant chaque poste de police. Il avait commencé par Vallée Pitot, puis Plaine Verte, Pope Hennessy et les Casernes centrales. Mais il semble qu’il a réalisé qu’il y avait davantage de policiers que des badauds dans l’assistance. Pourtant, l’idée n’est pas mauvaise. Il protestait contre la hausse des prix des carburants effective depuis le 28 décembre.
Le prix de l’essence est passé de Rs 50,70 à Rs 55,75 le litre tandis que celui du diesel est passé de Rs 37,30 à Rs 41 le litre. Sauf que, contrairement à Raouf Khodabaccus et d’autres activistes qui semblent avoir beaucoup de temps, les Mauriciens doivent gagner leurs vies.
Vendredi, il a tenu sa dernière manifestation contre la hausse des prix des carburants. Devant les Casernes centrales, il a effectué son chant du cygne. Il a affirmé qu’il met fin à sa campagne de protestation pacifique en raison du manque de soutien affiché par les Mauriciens. C’était à prévoir !
Rappelons qu’il avait l’idée de tenir une manifestation devant chaque poste de police. Il avait commencé par Vallée Pitot, puis Plaine Verte, Pope Hennessy et les Casernes centrales. Mais il semble qu’il a réalisé qu’il y avait davantage de policiers que des badauds dans l’assistance. Pourtant, l’idée n’est pas mauvaise. Il protestait contre la hausse des prix des carburants effective depuis le 28 décembre.
Le prix de l’essence est passé de Rs 50,70 à Rs 55,75 le litre tandis que celui du diesel est passé de Rs 37,30 à Rs 41 le litre. Sauf que, contrairement à Raouf Khodabaccus et d’autres activistes qui semblent avoir beaucoup de temps, les Mauriciens doivent gagner leurs vies.
