Le leader du PTr a joué les Nostradamus. C’était à l’issue du bureau politique et de l’exécutif à Ébène jeudi après-midi.
« Si Pravind Jugnauth remporte de nouveau les élections, ce sera la fin de Maurice », a déclaré le leader du PTr. Navin Ramgoolam a reconnu qu’il y a des divergences au niveau du programme. C’est ce qui retarde les négociations. Néanmoins, le leader du PTr a insisté qu’une solution sera rapidement trouvée.
Il a précisé que les discussions vont reprendre dès que l’état de santé de Paul Bérenger va le permettre. « J’ai demandé au bureau politique si tout le monde était d’accord. Ils ont dit oui. Que ce soit Xavier, Paul ou moi, chacun aurait aimé aligner 60 candidats. Mais le problème est grave. On ne peut se permettre une division des votes. Cela est inacceptable », a déclaré Navin Ramgoolam. Il a indiqué qu’il y a des divergences sur le programme. « Cela est essentiel. On ne peut faire une alliance en évoquant uniquement les postes à pourvoir. Il y a des petites différences. Nous allons trouver des solutions. Mais chacun doit faire des compromis », a-t-il souligné.
Il a précisé que Paul Bérenger a eu « un petit problème » de santé. « Nous allons nous rencontrer lorsqu’il ira mieux », a-t-il affirmé.
« Si Pravind Jugnauth remporte de nouveau les élections, ce sera la fin de Maurice », a déclaré le leader du PTr. Navin Ramgoolam a reconnu qu’il y a des divergences au niveau du programme. C’est ce qui retarde les négociations. Néanmoins, le leader du PTr a insisté qu’une solution sera rapidement trouvée.
Il a précisé que les discussions vont reprendre dès que l’état de santé de Paul Bérenger va le permettre. « J’ai demandé au bureau politique si tout le monde était d’accord. Ils ont dit oui. Que ce soit Xavier, Paul ou moi, chacun aurait aimé aligner 60 candidats. Mais le problème est grave. On ne peut se permettre une division des votes. Cela est inacceptable », a déclaré Navin Ramgoolam. Il a indiqué qu’il y a des divergences sur le programme. « Cela est essentiel. On ne peut faire une alliance en évoquant uniquement les postes à pourvoir. Il y a des petites différences. Nous allons trouver des solutions. Mais chacun doit faire des compromis », a-t-il souligné.
Il a précisé que Paul Bérenger a eu « un petit problème » de santé. « Nous allons nous rencontrer lorsqu’il ira mieux », a-t-il affirmé.
