Les perquisitions étaient illégales. C’est ce que Navin Ramgoolam a encore soutenu dans un document déposé en Cour suprême mardi.
Il s’agit de ses réponses aux interrogations de l’État, du commissaire de police et des trois policiers visés dans sa plainte. Rappelons que le leader du PTr leur réclame une roupie symbolique à titre de dommages.
Cependant, il demande un ordre sommant la police de lui restituer la totalité des biens saisis chez lui, y compris les Rs 220 millions qui se trouvaient dans ses coffres-forts. Car justement, pour lui, les perquisitions de février 2015 étaient illégales.
Précisons que la plainte de Navin Ramgoolam est dirigée contre l’État, le commissaire de police, les sergents Ramdoo, Seebaruth et le constable Veder du Central Criminal Investigation Department, ainsi que trois magistrates (Shavina Jugnauth- Chuttur, Kadampanavasini Sockalingum-Juwaheer et Shefali Naika Gannoo).
Il s’agit de ses réponses aux interrogations de l’État, du commissaire de police et des trois policiers visés dans sa plainte. Rappelons que le leader du PTr leur réclame une roupie symbolique à titre de dommages.
Cependant, il demande un ordre sommant la police de lui restituer la totalité des biens saisis chez lui, y compris les Rs 220 millions qui se trouvaient dans ses coffres-forts. Car justement, pour lui, les perquisitions de février 2015 étaient illégales.
Précisons que la plainte de Navin Ramgoolam est dirigée contre l’État, le commissaire de police, les sergents Ramdoo, Seebaruth et le constable Veder du Central Criminal Investigation Department, ainsi que trois magistrates (Shavina Jugnauth- Chuttur, Kadampanavasini Sockalingum-Juwaheer et Shefali Naika Gannoo).