Il y a quatre jours, le Premier ministre avait pris pour exemple sa gestion du rapport Lam Shang Leen, pour démontrer sa détermination à poursuivre son combat contre la mafia de la drogue.
Il avait été très critique envers l’ancien Premier ministre, Navin Ramgoolam.
« Qui peut remettre en doute ma volonté de combattre le trafic de drogue? », « Dans le passé, nous avons demandé à l’ancien Premier ministre, Navin Ramgoolam, d’instituer une commission sur le trafic de drogue. Mais rien n’a été fait en ce sens ».
Li’nn banaliz sa ek li’nn dir péna nésésité.
« J’ai eu le courage de publier le rapport de la commission enquête sur le trafic de drogue »
Le chef du gouvernement s’était enorgueillit du fait que depuis que l’alliance Lepep est au pouvoir, les saisies se multiplient. «Sa kantité sézi-la rékor.»
Pour lui, c'est sous l’ère travailliste que la mafia de la drogue a été tolérée.
Il avait fait des menaces à peine voilée : «en temps et lieu, pou éna enkor kitsoz pou bizin dir».
Ce mercredi 1 et août, Navin Ramgoolam répondait à la presse à l’issue d’une audience, dans le cadre du procès qui lui est intenté dans l’affaire Roches-Noires.
«Le rapport Lam Shang Leen ne pourra pas finir dans un tiroir, les conclusions sont accablantes. Tous ceux qui y sont cités sont des proches du MSM».
«Kan ou fouy trou pou ou kamarad, ou tom ladan ou mem.»
Il en a profiter pour saluer les questions «pertinentes» de Xavier Duval concernant le ministre Sudhir Sesungkur.
Dans le cadre de l’enquête sur l’affaire Roches-Noires, les trois dépositions de Navin Ramgoolam sont irrecevables c'est ce que soutient son homme de loi, Me Gavin Glover, SC. t en cour intermédiaire.
La police n’aurait pas respecté le Judge’s rule 3(b) et a donc outrepassé ses droits au cours de l’enquête en 2015.
La règle 3 du Judge’s rule stipule que si le suspect a complété sa déposition, l’enquêteur peut poser des questions supplémentaires, mais uniquement pour éclaircir certains points et non poser de nouvelles questions.
Une décision est attendue le 17 octobre.
Il avait été très critique envers l’ancien Premier ministre, Navin Ramgoolam.
« Qui peut remettre en doute ma volonté de combattre le trafic de drogue? », « Dans le passé, nous avons demandé à l’ancien Premier ministre, Navin Ramgoolam, d’instituer une commission sur le trafic de drogue. Mais rien n’a été fait en ce sens ».
Li’nn banaliz sa ek li’nn dir péna nésésité.
« J’ai eu le courage de publier le rapport de la commission enquête sur le trafic de drogue »
Le chef du gouvernement s’était enorgueillit du fait que depuis que l’alliance Lepep est au pouvoir, les saisies se multiplient. «Sa kantité sézi-la rékor.»
Pour lui, c'est sous l’ère travailliste que la mafia de la drogue a été tolérée.
Il avait fait des menaces à peine voilée : «en temps et lieu, pou éna enkor kitsoz pou bizin dir».
Ce mercredi 1 et août, Navin Ramgoolam répondait à la presse à l’issue d’une audience, dans le cadre du procès qui lui est intenté dans l’affaire Roches-Noires.
«Le rapport Lam Shang Leen ne pourra pas finir dans un tiroir, les conclusions sont accablantes. Tous ceux qui y sont cités sont des proches du MSM».
«Kan ou fouy trou pou ou kamarad, ou tom ladan ou mem.»
Il en a profiter pour saluer les questions «pertinentes» de Xavier Duval concernant le ministre Sudhir Sesungkur.
Dans le cadre de l’enquête sur l’affaire Roches-Noires, les trois dépositions de Navin Ramgoolam sont irrecevables c'est ce que soutient son homme de loi, Me Gavin Glover, SC. t en cour intermédiaire.
La police n’aurait pas respecté le Judge’s rule 3(b) et a donc outrepassé ses droits au cours de l’enquête en 2015.
La règle 3 du Judge’s rule stipule que si le suspect a complété sa déposition, l’enquêteur peut poser des questions supplémentaires, mais uniquement pour éclaircir certains points et non poser de nouvelles questions.
Une décision est attendue le 17 octobre.