Les limiers de la brigade antidrogue veulent la réponse à cette question. Comment expliquer que dans une prison de très haute sécurité, comme celle de Phoenix, surnommée La Bastille, un détenu puisse se retrouver en possession d’un téléphone portable ?
Ce fut le cas de Peroomal Veeren. Soulignons qu’à La Bastille, à l’exception d’une courte période, le détenu demeure dans sa cellule. Sans complicité, il est impossible d’avoir ne serait-ce qu’une aiguille ? Mais dans la cellule du caïd, un portable a pourtant été saisi jeudi.
Les enquêteurs ont les gardiens de prison dans leur viseur. D’ailleurs, Peroomal Veeren a concédé que le téléphone, un mini-portable, lui appartenait. Tout comme deux cartes SIM d’ailleurs. Néanmoins, il refuse de divulguer l’identité de celui qui lui a remis l’appareil en question. Il se chuchote qu’une liste de gardiens a été établie. Ils seront prochainement interrogés. Le fait que le corridor où se trouve la cellule, spéciale en plus, de Peroomal Veeren est équipé de caméras de surveillance.
Ce fut le cas de Peroomal Veeren. Soulignons qu’à La Bastille, à l’exception d’une courte période, le détenu demeure dans sa cellule. Sans complicité, il est impossible d’avoir ne serait-ce qu’une aiguille ? Mais dans la cellule du caïd, un portable a pourtant été saisi jeudi.
Les enquêteurs ont les gardiens de prison dans leur viseur. D’ailleurs, Peroomal Veeren a concédé que le téléphone, un mini-portable, lui appartenait. Tout comme deux cartes SIM d’ailleurs. Néanmoins, il refuse de divulguer l’identité de celui qui lui a remis l’appareil en question. Il se chuchote qu’une liste de gardiens a été établie. Ils seront prochainement interrogés. Le fait que le corridor où se trouve la cellule, spéciale en plus, de Peroomal Veeren est équipé de caméras de surveillance.