C’est dans la dernière édition de la e-newsletter de son bureau. Le DPP a insisté que l’aide médicale à la mort ou le suicide assisté est un délit à Maurice.
Que le geste ait été commis par compassion ou pas importe peu, a ajouté Me Satyajit Boolell. Le délit est passible d’une peine d’emprisonnement maximale de 60 ans.
Me Boolell a pris l’exemple d’une jeune Néerlandaise de 17 ans, victime d’abus sexuels, qui a choisi de se laisser mourir en refusant de s’alimenter. Cependant, le DPP estime que pour les médecins, cela peut représenter un dilemme.
Que le geste ait été commis par compassion ou pas importe peu, a ajouté Me Satyajit Boolell. Le délit est passible d’une peine d’emprisonnement maximale de 60 ans.
Me Boolell a pris l’exemple d’une jeune Néerlandaise de 17 ans, victime d’abus sexuels, qui a choisi de se laisser mourir en refusant de s’alimenter. Cependant, le DPP estime que pour les médecins, cela peut représenter un dilemme.