Après avoir tenté, au Parlement la semaine dernière, de faire un drôle d’amalgame entre la situation dans les faubourgs de Port-Louis et les victimes des grosses averses à Fond du Sac, le leader du PMSD ne pouvait ne pas commenter la situation catastrophique actuelle.
Ainsi, en conférence de presse hier, il a indiqué qu’il ne faut pas de politique de deux poids, deux mesures. Il a indiqué que lorsqu’il était ministre des Finances, toutes les familles qui faisaient face à ce genre de situation obtenaient une aide de Rs 125 de l’État.
C’était à travers un système de bons (voucher), a-t-il indiqué. Et de souligner : « Il n’y avait aucune manifestation, aucune agitation ! ».
Aujourd’hui, affirme-t-il, c’est le chaos. « Les gens doivent descendre dans la rue pour obtenir de l’eau ou l’aide du gouvernement. Si on ne fait pas entendre sa voix, on n’a rien », précise-t-il, tout en réclament un traitement équitable pour tout le monde.
Ainsi, en conférence de presse hier, il a indiqué qu’il ne faut pas de politique de deux poids, deux mesures. Il a indiqué que lorsqu’il était ministre des Finances, toutes les familles qui faisaient face à ce genre de situation obtenaient une aide de Rs 125 de l’État.
C’était à travers un système de bons (voucher), a-t-il indiqué. Et de souligner : « Il n’y avait aucune manifestation, aucune agitation ! ».
Aujourd’hui, affirme-t-il, c’est le chaos. « Les gens doivent descendre dans la rue pour obtenir de l’eau ou l’aide du gouvernement. Si on ne fait pas entendre sa voix, on n’a rien », précise-t-il, tout en réclament un traitement équitable pour tout le monde.