
C’est le communiqué qui pourrait s’avérer incriminant pour Akash Chuttoo. Rappelons que des mails, supprimés de sa boîte aux lettres électroniques mais retrouvés par les enquêteurs, montrent que le comprimé aurait été à Rs 17,42.
Mais dans un communiqué émis le 12 décembre 2021, MediaTalks, la boîte de communication dont les services ont été sollicités par CPN Distributors, il était indiqué que le Molnupiravir avait « acheté à Rs 72 et vendu à Rs 79.92, soit une marge de 11% ». C’était d’ailleurs le titre.
Dans la communiqué, il était indiqué que « CPN Distributors Ltd précise et réaffirme avoir payé 1 million de capsules de Molnupiravir de 200 mg à USD 1.65 l’unité ». Il était aussi précisé : « Cela représente (en prenant en compte les fluctuations des devises) Rs 72 l’unité à l’achat en gros et un prix de revente à Rs 79.92 l’unité soit une marge de 11 % ». Et le communiqué de souligner : « Il n’y a donc AUCUN ABUS DE PRIX d’aucune sorte, contrairement aux allégations malveillantes lancées à leur encontre ».
Le communiqué précisait que « les livres de compte de la compagnie, de même que les documents d’importation, demeurent à la disposition des autorités compétentes du pays », et que « le stock de médicaments a été initialement importé pour distribution à travers les pharmacies du privé ». Intéressant tout cela !
Mais dans un communiqué émis le 12 décembre 2021, MediaTalks, la boîte de communication dont les services ont été sollicités par CPN Distributors, il était indiqué que le Molnupiravir avait « acheté à Rs 72 et vendu à Rs 79.92, soit une marge de 11% ». C’était d’ailleurs le titre.
Dans la communiqué, il était indiqué que « CPN Distributors Ltd précise et réaffirme avoir payé 1 million de capsules de Molnupiravir de 200 mg à USD 1.65 l’unité ». Il était aussi précisé : « Cela représente (en prenant en compte les fluctuations des devises) Rs 72 l’unité à l’achat en gros et un prix de revente à Rs 79.92 l’unité soit une marge de 11 % ». Et le communiqué de souligner : « Il n’y a donc AUCUN ABUS DE PRIX d’aucune sorte, contrairement aux allégations malveillantes lancées à leur encontre ».
Le communiqué précisait que « les livres de compte de la compagnie, de même que les documents d’importation, demeurent à la disposition des autorités compétentes du pays », et que « le stock de médicaments a été initialement importé pour distribution à travers les pharmacies du privé ». Intéressant tout cela !