Image credits: Credit Henry Kenyon for Ocean Rebellion
Protégez nos océans ! Les manifestations se poursuivent à Londres pour mettre en évidence les dévastations causées par le déversement de pétrole du Wakashio sur les peuples et les écosystèmes à l'île Maurice.
Une protestation contre l'inaction criminelle de l'Organisation maritime internationale (OMI) dans la protection des océans et du climat. A noter que des pourparlers pour s'entendre sur la manière dont le transport maritime mondial répond aux objectifs climatiques se déroulent cette semaine à Londres. Et le moins qu'on puisse dire c'est que le naufrage du Wakashio et l'île Maurice figuraient en bonne place.
Des manifestations ont eu lieu à trois endroits, notamment en face de l'ambassade du Japon et l'ambassade du Panama, organisées par des activistes écologiques Extinction Rebellion UK.
Rappelons qu'une coulée noire s'échappant du vraquier échoué sur le récif depuis le 25 juillet dernier a fait le tour du monde. Du Guardian à Londres, Bloomberg, la BBC à Al Jazeera. Les journaux français (Le Monde à Paris Match) et dans la zone océan indien, suivent la situation de près tout comme la presse africaine.
Le bateau, appartenant à un armateur japonais mais battant pavillon panaméen, voyageait à vide mais transportait 200 tonnes de diesel et 3.800 tonnes d'huile lourde. Les vagues ont charrié sans discontinuer des nappes de fioul sur les plages du sud-est du pays, sachant que « le pire est à venir ». « Ce qui est arrivé et a été ramassé jusqu'à présent est une petite quantité de ce qui a été déversé », estiment les écologistes qui disent s'attendre à « une catastrophe bien plus grande ».
Rappelons que cette marée noire est la plus grande catastrophe environnementale de l'histoire du pays après la déforestation et le bétonnage sauvage. La région de Pointe d'Esny, disposant de formations coralliennes uniques dans l'océan indien, a été touché par la marée noire tout comme le Mahébourg Waterfont et le Ruisseau Des Créoles.
Une protestation contre l'inaction criminelle de l'Organisation maritime internationale (OMI) dans la protection des océans et du climat. A noter que des pourparlers pour s'entendre sur la manière dont le transport maritime mondial répond aux objectifs climatiques se déroulent cette semaine à Londres. Et le moins qu'on puisse dire c'est que le naufrage du Wakashio et l'île Maurice figuraient en bonne place.
Des manifestations ont eu lieu à trois endroits, notamment en face de l'ambassade du Japon et l'ambassade du Panama, organisées par des activistes écologiques Extinction Rebellion UK.
Rappelons qu'une coulée noire s'échappant du vraquier échoué sur le récif depuis le 25 juillet dernier a fait le tour du monde. Du Guardian à Londres, Bloomberg, la BBC à Al Jazeera. Les journaux français (Le Monde à Paris Match) et dans la zone océan indien, suivent la situation de près tout comme la presse africaine.
Le bateau, appartenant à un armateur japonais mais battant pavillon panaméen, voyageait à vide mais transportait 200 tonnes de diesel et 3.800 tonnes d'huile lourde. Les vagues ont charrié sans discontinuer des nappes de fioul sur les plages du sud-est du pays, sachant que « le pire est à venir ». « Ce qui est arrivé et a été ramassé jusqu'à présent est une petite quantité de ce qui a été déversé », estiment les écologistes qui disent s'attendre à « une catastrophe bien plus grande ».
Rappelons que cette marée noire est la plus grande catastrophe environnementale de l'histoire du pays après la déforestation et le bétonnage sauvage. La région de Pointe d'Esny, disposant de formations coralliennes uniques dans l'océan indien, a été touché par la marée noire tout comme le Mahébourg Waterfont et le Ruisseau Des Créoles.
Image credits: Credit Henry Kenyon for Ocean Rebellion
