Le « Projet Pegasus » avait révélé un système mondial d’espionnage de téléphones, sous forme d'arme numérique utilisée contre des journalistes, des avocats, des militants et des responsables politiques de nombreux pays, dont la France. A Maurice, ces violations des droits de l'homme commises par des Etats sur des hommes politiques et de leur population, a fait des émules.
Des accusations d'harcèlement sexuels alléguées refont surface concernant Deepak Balgobin.
Alors que le ministre des TIC a donné le coup d’envoi des débats sur le Cybersecurity and Cybercrime Bill en novembre 2021, il n'a eu de cesse de rassurer qu’en aucun cas, les réseaux sociaux seront surveillés. Il a affirmé que ceux qui critiquent le gouvernement font dans la démagogie. Selon Deepak Balgobin, le projet de loi « respecte les droits de l’Homme », car en aucun cas, le National Cybersecurity Committee aura le pouvoir d’enquêter. Les enquêtes policières, selon le ministre, se feront en toute indépendance. Ce qui n’était peut-être pas une phrase à dire !
A l'île Maurice, le retour des censeurs de la liberté d'expression
Pour Deepak Balgobin, le Cybersecurity and Cybercrime Bill vise à mieux combattre la cybercriminalité, renforcer la cyber résilience et renforcer la coopération internationale. À quel point aura-t-il convaincu avec les récentes révélations de l'ancien CEO de Mauritius Telecom ?
Le projet de loi de Cybersecurité afin de combattre la Cybercriminalité, n'est au final qu'une version sucée et resucée de la Consultative Paper de l’Information and Communication Technologies Authority (ICTA), après l'échec cuisant en matière de répression sur la liberté d'expression de Maneesh Gobin, le Part time Attorney general, puis de Me Dick Ng Sui Wa, le Part time Chairman de l’Information and Communication Technologies (ICTA), enter Deepack Balgobin, ministre de la Technologie, de la Communication et de l’Innovation (TIC)
Pêle-mêle : piratage, utilisateurs Facebook, médias, sites web.
Selon Ish Sookun, Systems Architect à La Sentinelle, le comité national de cybersécurité sera composé de membres sélectionnés uniquement par le ministre, ceci alors qu' «il n’y a aucune transparence et aucune possibilité pour quelqu’un de faire appel de toute décision prise par le comité» dans la forme actuelle du projet de loi.
Liberté d'expression à l'île Maurice : la dérive dangereuse de l'ICTA
Dick Ng Sui Wa veut mettre un bâillon aux rédactions de presse
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Selon Ish Sookun, Systems Architect à La Sentinelle, le comité national de cybersécurité sera composé de membres sélectionnés uniquement par le ministre, ceci alors qu' «il n’y a aucune transparence et aucune possibilité pour quelqu’un de faire appel de toute décision prise par le comité» dans la forme actuelle du projet de loi.
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