Maître Désiré Basset, Senior Counsel et ancien membre de l'Electoral Supervisory Commission (ESC) a affirmé ce mardi 16 novembre, qu’il va assurer la défense de Pravind Jugnauth, dans la Private Prosecution de Suren Dayal.
« Le Bar Council m’a fait comprendre que je suis le seul à pouvoir décider si je pourrai représenter Pravind Jugnauth en Cour suprême demain »
Rappelons que Me Antoine Domingue, qui représente les intérêts de Suren Dayal avait objecté à la présence de Me Basset pour cause d'allégations de conflits d'intérêts. Pravind Jugnauth, leader du Mouvement socialiste militant est accusé par Suren Dayal d’avoir juré un faux affidavit sur ses dépenses lors des législatives de novembre 2019. D’où sa Private Prosecution ! Mais le Premier ministre soutient que Suren Dayal n’est pas habilité à loger une Private Prosecution contre lui. Il affirme que seul le Directeur des poursuites publiques a le pouvoir d’initier des poursuites contre un individu. Pour lui, l’action de Suren Dayal est illégale. Sans compter qu’il n’a pas de locus standi dans l’affaire.
Pour rappel, les deux parties se présenteront devant les juges Nirmala Devat, Iqbal Maghooa et Carol Green-Jokhoo en Cour suprême pour débattre de la requête de Pravind Jugnauth de rejeter ou de déclarer illégale la Private Prosecution intentée par Suren Dayal.
En cas de non-satisfaction de la décision de la cour suprême, le seul recours restera le Privy Council !
« Le Bar Council m’a fait comprendre que je suis le seul à pouvoir décider si je pourrai représenter Pravind Jugnauth en Cour suprême demain »
Rappelons que Me Antoine Domingue, qui représente les intérêts de Suren Dayal avait objecté à la présence de Me Basset pour cause d'allégations de conflits d'intérêts. Pravind Jugnauth, leader du Mouvement socialiste militant est accusé par Suren Dayal d’avoir juré un faux affidavit sur ses dépenses lors des législatives de novembre 2019. D’où sa Private Prosecution ! Mais le Premier ministre soutient que Suren Dayal n’est pas habilité à loger une Private Prosecution contre lui. Il affirme que seul le Directeur des poursuites publiques a le pouvoir d’initier des poursuites contre un individu. Pour lui, l’action de Suren Dayal est illégale. Sans compter qu’il n’a pas de locus standi dans l’affaire.
Pour rappel, les deux parties se présenteront devant les juges Nirmala Devat, Iqbal Maghooa et Carol Green-Jokhoo en Cour suprême pour débattre de la requête de Pravind Jugnauth de rejeter ou de déclarer illégale la Private Prosecution intentée par Suren Dayal.
En cas de non-satisfaction de la décision de la cour suprême, le seul recours restera le Privy Council !