Rien ne va plus au sein de cet établissement bancaire, fruit d’une série d’échec de banques appartenant à l’État et une décision suicidaire (pour le peuple) du gouvernement Lepep en 2015.
Madhou Chandrasen Jaynarain, chef du département des Ressources humaines de la MauBank a été suspendu de ses fonctions vendredi. Ce serait l’octroi d’une indemnité pour un poste d’intérim qui serait à la base de cette suspension immédiate. Madhou Chandrasen Jaynarain a été informé qu’il pourrait être traduit devant un comité disciplinaire.
Le drame, c’est que cette suspension intervient quelques jours seulement après une descente de l’Icac au siège de la MauBank à Ébène. Cela, dans le sillage de l’affaire des prêts toxiques de Rs 1,5 milliard accordés à quatre hommes d’affaires. Mais Madhou Chandrasen Jaynarain réfute les allégations portées contre lui. Il s’est, semble-t-il, exprimé dans un média.
Rappelons que les enquêteurs de l’Icac ont passé environ 12 heures dans les locaux de la MauBank le mardi 15 mars dernier. Ils ont effectué cette perquisition dans le cadre de l’enquête sur des « toxic loans » de Rs 1,5 milliard accordés par l’ancienne Mauritius Post Cooperative Bank, qui est une des composantes de la MauBank.
Les enquêteurs étaient en possession de trois ordres de la Cour suprême leur permettant de saisir des documents, des fichiers et toute autre information au sujet des prêts accordés à des groupes de sociétés appartenant à Doomeswarsing (Rakesh) Gooljaury, son frère Prameshwar Gooljaury, Mohamed Alykhan Torabally et Rooplall Beerjeeraz durant la période 2010 à 2015.
Madhou Chandrasen Jaynarain, chef du département des Ressources humaines de la MauBank a été suspendu de ses fonctions vendredi. Ce serait l’octroi d’une indemnité pour un poste d’intérim qui serait à la base de cette suspension immédiate. Madhou Chandrasen Jaynarain a été informé qu’il pourrait être traduit devant un comité disciplinaire.
Le drame, c’est que cette suspension intervient quelques jours seulement après une descente de l’Icac au siège de la MauBank à Ébène. Cela, dans le sillage de l’affaire des prêts toxiques de Rs 1,5 milliard accordés à quatre hommes d’affaires. Mais Madhou Chandrasen Jaynarain réfute les allégations portées contre lui. Il s’est, semble-t-il, exprimé dans un média.
Rappelons que les enquêteurs de l’Icac ont passé environ 12 heures dans les locaux de la MauBank le mardi 15 mars dernier. Ils ont effectué cette perquisition dans le cadre de l’enquête sur des « toxic loans » de Rs 1,5 milliard accordés par l’ancienne Mauritius Post Cooperative Bank, qui est une des composantes de la MauBank.
Les enquêteurs étaient en possession de trois ordres de la Cour suprême leur permettant de saisir des documents, des fichiers et toute autre information au sujet des prêts accordés à des groupes de sociétés appartenant à Doomeswarsing (Rakesh) Gooljaury, son frère Prameshwar Gooljaury, Mohamed Alykhan Torabally et Rooplall Beerjeeraz durant la période 2010 à 2015.
