Il a tenu une conférence de presse ce matin pour évoquer l’Afghanistan et les autres dossiers ayant trait à ses responsabilités ministérielles. Mais les journalistes n’en avaient cure.
À l’heure des questions-réponses, Alan Ganoo a été presque exclusivement interrogé sur l’aparté entre Pravind Jugnauth et Navin Ramgoolam dimanche dernier lors de la cérémonie à l’occasion de la fête nationale de l’Inde.
Ses réponses étaient très intéressantes. D’abord, il a expliqué qu’il s’agit simplement d’une conversation entre deux personnes civilisées. « Je n’accorde aucune valeur ou connotation politique à cet aparté », a-t-il déclaré. Alan Ganoo a aussi souligné que Navin Ramgoolam était le seul membre de l’opposition à être présent à cette cérémonie. Il a, au passage, critiqué Paul Bérenger et Xavier-Luc Duval de ne pas avoir été présents, surtout le leader des bleus qui est leader de l’opposition.
Alan Ganoo a aussi expliqué que « c’est tout à l’honneur du Premier ministre d’avoir laissé ses ministres » pour aller parler à Navin Ramgoolam. D’autant que ce dernier est un ancien chef du gouvernement et était seul à ce moment là. Et Alan Ganoo de sortir cette phrase digne d’une réplique de film : « Moi aussi j’ai parlé avec Navin Ramgoolam à un certain moment. Mais les journaux n’ont pas publié notre photo ! »
Et d’ajouter, pince-sans-rire, qu’il comprend que cela fasse le buzz lorsque Pravind Jugnauth et Navin Ramgoolam, « qui ne se sont pas parlé depuis un moment », se retrouvent ensemble. « Je concède que je n’ai pas la même importance sur un plan politique », a-t-il souligné.
Mais lorsqu’il lui a été demandé s’il était inquiet que Pravind Jugnauth se débarrasse de ses actuels alliés pour conclure une nouvelle alliance, Alan Ganoo a été catégorique. « Je ne suis nullement inquiet. Avec les décisions qui sont prises et de par la façon dont Pravind Jugnauth dirige le gouvernement, il n’a nullement besoin d’une nouvelle alliance », surtout « face à une opposition désemparée, désunie et groggy ». Il a soutenu que dans son for intérieur, Pravind Jugnauth sait qu’il peut remporter les prochaines élections et rester Premier ministre avec l’équipe actuelle.
À l’heure des questions-réponses, Alan Ganoo a été presque exclusivement interrogé sur l’aparté entre Pravind Jugnauth et Navin Ramgoolam dimanche dernier lors de la cérémonie à l’occasion de la fête nationale de l’Inde.
Ses réponses étaient très intéressantes. D’abord, il a expliqué qu’il s’agit simplement d’une conversation entre deux personnes civilisées. « Je n’accorde aucune valeur ou connotation politique à cet aparté », a-t-il déclaré. Alan Ganoo a aussi souligné que Navin Ramgoolam était le seul membre de l’opposition à être présent à cette cérémonie. Il a, au passage, critiqué Paul Bérenger et Xavier-Luc Duval de ne pas avoir été présents, surtout le leader des bleus qui est leader de l’opposition.
Alan Ganoo a aussi expliqué que « c’est tout à l’honneur du Premier ministre d’avoir laissé ses ministres » pour aller parler à Navin Ramgoolam. D’autant que ce dernier est un ancien chef du gouvernement et était seul à ce moment là. Et Alan Ganoo de sortir cette phrase digne d’une réplique de film : « Moi aussi j’ai parlé avec Navin Ramgoolam à un certain moment. Mais les journaux n’ont pas publié notre photo ! »
Et d’ajouter, pince-sans-rire, qu’il comprend que cela fasse le buzz lorsque Pravind Jugnauth et Navin Ramgoolam, « qui ne se sont pas parlé depuis un moment », se retrouvent ensemble. « Je concède que je n’ai pas la même importance sur un plan politique », a-t-il souligné.
Mais lorsqu’il lui a été demandé s’il était inquiet que Pravind Jugnauth se débarrasse de ses actuels alliés pour conclure une nouvelle alliance, Alan Ganoo a été catégorique. « Je ne suis nullement inquiet. Avec les décisions qui sont prises et de par la façon dont Pravind Jugnauth dirige le gouvernement, il n’a nullement besoin d’une nouvelle alliance », surtout « face à une opposition désemparée, désunie et groggy ». Il a soutenu que dans son for intérieur, Pravind Jugnauth sait qu’il peut remporter les prochaines élections et rester Premier ministre avec l’équipe actuelle.
