Il se croit réellement meilleur ! Hier à Pierrefonds, dans le cadre d’une cérémonie de pose de première pierre d’un projet de route, Pravind Jugnauth a demandé à la population (et aussi aux médias) de comparer entre lui et ceux qui ont assumé la fonction de chef du gouvernement.
« Vous n’avez qu’à comparer. Je ne suis pas parfait. Personne n’est idéal. Nous avons tous un passé. Mais comparez et vous verrez ! » Voilà les propos qu’il a tenus. Il est revenu à quelques reprises sur ce point. Il s’est étonné que personne ne fasse de comparaison, surtout dans le cadre de la Journée mondiale des femmes. Pour lui, certains se « noient dans leurs contradictions ».
Pravind Jugnauth a aussi évoqué l’affaire de pot-de-vin présumé de Rs 27 millions. Il a déclaré que l’Icac est indépendante, qu’elle fait son boulot et qu’il est satisfait des actions prises. Il a aussi égratigné Roshi Bhadain. « J’ai entendu des bobards d’un leader politique. Il a dit qu’il m’a fait parvenir des documents. Mais je n’ai rien reçu », a-t-il déclaré.
Pravind Jugnauth a ajouté qu’il a tenté de glaner certaines informations. Mais il a précisé qu’il ne faut pas faire d’amalgame entre le recueil d’information et une enquête en bonne et due forme. Il a insisté qu’il ne peut enquêter comme le ferait la police ou l’Icac… tout comme, selon lui, une enquête journalistique ne peut être comparée à une effectuée par la Financial Intelligence Unit par exemple. « Néanmoins, lorsque j’entends quelque chose, même les allégations les plus farfelues ou bêtes, je m’enquiers de la situation. Mais je ne peux aller interroger des témoins », a-t-il souligné.
« Vous n’avez qu’à comparer. Je ne suis pas parfait. Personne n’est idéal. Nous avons tous un passé. Mais comparez et vous verrez ! » Voilà les propos qu’il a tenus. Il est revenu à quelques reprises sur ce point. Il s’est étonné que personne ne fasse de comparaison, surtout dans le cadre de la Journée mondiale des femmes. Pour lui, certains se « noient dans leurs contradictions ».
Pravind Jugnauth a aussi évoqué l’affaire de pot-de-vin présumé de Rs 27 millions. Il a déclaré que l’Icac est indépendante, qu’elle fait son boulot et qu’il est satisfait des actions prises. Il a aussi égratigné Roshi Bhadain. « J’ai entendu des bobards d’un leader politique. Il a dit qu’il m’a fait parvenir des documents. Mais je n’ai rien reçu », a-t-il déclaré.
Pravind Jugnauth a ajouté qu’il a tenté de glaner certaines informations. Mais il a précisé qu’il ne faut pas faire d’amalgame entre le recueil d’information et une enquête en bonne et due forme. Il a insisté qu’il ne peut enquêter comme le ferait la police ou l’Icac… tout comme, selon lui, une enquête journalistique ne peut être comparée à une effectuée par la Financial Intelligence Unit par exemple. « Néanmoins, lorsque j’entends quelque chose, même les allégations les plus farfelues ou bêtes, je m’enquiers de la situation. Mais je ne peux aller interroger des témoins », a-t-il souligné.