« Le rapport est accablant ! » Cette phrase de Pravind Jugnauth est un doux euphémisme eu égard aux conclusions de la commission d'enquête présidée par Asraf Caunhye, épaulée de Nirmala Devat et Gaitree Jugessur-Manna. Il ne manque à la commission que de traiter Ameenah Gurib-Fakim de « violeuse en série de la Constitution » et de faire référence à Jack L'Éventreur ou, pour rester à Maurice, au Dr Miko.
Car, dans le document, Ameenah Gurib-Fakim a littéralement droit au karcher. C'est un passage à tabac, une agression en bande organisée. Elle est accusée d'avoir violé plusieurs sections de la Constitution en : nommant de son propre chef une commission d'enquête le 16 mars 2018 et encaissant une Platinium Card mise à sa disposition par Planet Earth Institute. Elle est aussi accusée d'avoir usé et abusé de la fonction de président pour se procurer des avantage et gratification ou alors pour en faire bénéficier de tierces personnes.
Ameenah Gurib-Fakim est accusé de trafic d'influence, de non-respect des fonctionnements d'institutions démocratiques, d'avoir manqué à l'honneur de la fonction et d'avoir violé le serment.
Et, comme si tout cela ne suffisait pas, Ameenah Gurib-Fakim est accusée d'avoir enfreint à plusieurs reprises la Prevention of Corruption Act ainsi que le code pénal.
Car, dans le document, Ameenah Gurib-Fakim a littéralement droit au karcher. C'est un passage à tabac, une agression en bande organisée. Elle est accusée d'avoir violé plusieurs sections de la Constitution en : nommant de son propre chef une commission d'enquête le 16 mars 2018 et encaissant une Platinium Card mise à sa disposition par Planet Earth Institute. Elle est aussi accusée d'avoir usé et abusé de la fonction de président pour se procurer des avantage et gratification ou alors pour en faire bénéficier de tierces personnes.
Ameenah Gurib-Fakim est accusé de trafic d'influence, de non-respect des fonctionnements d'institutions démocratiques, d'avoir manqué à l'honneur de la fonction et d'avoir violé le serment.
Et, comme si tout cela ne suffisait pas, Ameenah Gurib-Fakim est accusée d'avoir enfreint à plusieurs reprises la Prevention of Corruption Act ainsi que le code pénal.
