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Politique

Pour Ramgoolam, la GGIRA a été faite pour bafouer ses droits


Rédigé par E. Moris le Mercredi 11 Septembre 2019



Le leader du PTr était en cour suprême ce matin, dans le cadre de sa plainte visant à contester la Good Governance and Integrity Reporting Act.

Dans ladite plainte, il soutient que cette loi a été écrite « sur mesure » et de façon à « porter atteinte » à ses droits constitutionnels.

L’action est dirigée contre l’État. L’Integrity Reporting Services Agency est citée comme co-défenderesse dans cette affaire. Ce sont les juges Benjamin Marie Joseph et Nirmala Devat qui écoutent l’affaire.

Ce matin, en cour suprême, Me Gavin Glover, l’avocat de Navin Ramgoolam, a exprimé son étonnement que les représentants légaux de l’IRSA aient soulevé des objections préliminaires. D’autant que l’ancien Premier ministre, a-t-il souligné, formulé de requête précise contre l’IRSA.

Me Hajee Abdoula, représentant de l’IRSA, a indiqué que c’est la décision du plaignant d’inclure l’organisme comme partie à cette affaire.

Les juges ont alors demandé aux deux parties de débattre de la question le 11 novembre 2019. 

Mercredi 11 Septembre 2019

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