Diviser la communauté musulmane en plein ramadan, c'est du jamais vu. Deux clans s'affrontent, les membres de la majorité gouvernementale et les membres de l'opposition de la foi musulmane.
Après les petites bombes lâchées sur les réseaux sociaux par les députés Eshan Juman et Shakeel Mohamed hier concernant la rupture du jeûne en période de ramadan supposément refusé par le Speaker, c'est par le biais d'un communiqué que l'assemblée nationale a réagi, ce mercredi.
Par la suite, les ministres Fazila Jeewa-Daureeawoo et Anwar Husnoo et le député Salim Abbas Mamode étaient face à la presse pour défendre au-delà du gouvernement, le Speaker de l'assemblée. Les trois ont flatté excessivement le gouvernement avec les convictions qui les caractérisent. Ils sont unanimes, il n'a jamais eu besoin de permission pour rompre le jeûne. Les dispositions nécessaires sont prises pour le Iftaar.
Les mots ont été lancés par Anwar Husnoo : "démagogie", "est-que Eshan Juman souhaite lever des tensions communales ?", "cheap politique sur la religion". Et Salim Abbas Mamode d'enfoncer le clou : ils veulent "créer des problèmes artificiels et des tensions communales en période de ramadan". Et une pique envers le député rouge Shakeel Mohamed, sans le nommer, qui selon lui est souvent absent au Parlement. "Ena dimoune ziste parait et disparait, pran parlement couma badinaze".
Après les petites bombes lâchées sur les réseaux sociaux par les députés Eshan Juman et Shakeel Mohamed hier concernant la rupture du jeûne en période de ramadan supposément refusé par le Speaker, c'est par le biais d'un communiqué que l'assemblée nationale a réagi, ce mercredi.
Par la suite, les ministres Fazila Jeewa-Daureeawoo et Anwar Husnoo et le député Salim Abbas Mamode étaient face à la presse pour défendre au-delà du gouvernement, le Speaker de l'assemblée. Les trois ont flatté excessivement le gouvernement avec les convictions qui les caractérisent. Ils sont unanimes, il n'a jamais eu besoin de permission pour rompre le jeûne. Les dispositions nécessaires sont prises pour le Iftaar.
Les mots ont été lancés par Anwar Husnoo : "démagogie", "est-que Eshan Juman souhaite lever des tensions communales ?", "cheap politique sur la religion". Et Salim Abbas Mamode d'enfoncer le clou : ils veulent "créer des problèmes artificiels et des tensions communales en période de ramadan". Et une pique envers le député rouge Shakeel Mohamed, sans le nommer, qui selon lui est souvent absent au Parlement. "Ena dimoune ziste parait et disparait, pran parlement couma badinaze".
