Pour faire plaisir au patronat, le gouvernement n’a qu’une chose à faire. Un geste simple. Agiter la banane afin de faciliter le permis de travail aux étrangers.
Renganaden Padayachy ne se gêne d’ailleurs pas pour faire renifler au secteur privé le parfum de la banane. Il va jusqu’à les enduire de parfum de banane... histoire de les faire saliver. Il a agité le plat de bananes lundi lors d’une rencontre avec des opérateurs du secteur privé. Le ministre des Finances a pris l’engagement de faciliter l’octroi du permis de travail aux travailleurs étrangers. Apparemment, parmi les patrons, certains se sont évanouis… de plaisir en entendant la nouvelle. Mais bon, un patron, ça a du toupet. Certains ont demandé que le délai soit de trois à huit semaines.
Il faut reconnaître que nombre de secteurs ne pourront opérer sans la main d’œuvre étrangère. Par exemple, sans les travailleurs bangladais, les Mauriciens n’auront pas de pain. Toutefois, il faut aussi dire que certains patrons abusent au niveau du recrutement de la main d’œuvre étrangère. Certains liquiderait leur personnel mauricien s’ils le pouvaient.
Renganaden Padayachy ne se gêne d’ailleurs pas pour faire renifler au secteur privé le parfum de la banane. Il va jusqu’à les enduire de parfum de banane... histoire de les faire saliver. Il a agité le plat de bananes lundi lors d’une rencontre avec des opérateurs du secteur privé. Le ministre des Finances a pris l’engagement de faciliter l’octroi du permis de travail aux travailleurs étrangers. Apparemment, parmi les patrons, certains se sont évanouis… de plaisir en entendant la nouvelle. Mais bon, un patron, ça a du toupet. Certains ont demandé que le délai soit de trois à huit semaines.
Il faut reconnaître que nombre de secteurs ne pourront opérer sans la main d’œuvre étrangère. Par exemple, sans les travailleurs bangladais, les Mauriciens n’auront pas de pain. Toutefois, il faut aussi dire que certains patrons abusent au niveau du recrutement de la main d’œuvre étrangère. Certains liquiderait leur personnel mauricien s’ils le pouvaient.