Le leader du MMM n’y est pas allé avec le dos de la cuillère dans ses critiques contre le Premier ministre. En conférence de presse ce matin, il a indiqué que Pravind Jugnauth est en train de déraper.
D’où son appel au chef du gouvernement pour qu’il « se ressaisisse ». « Il utilise les plateformes religieuses pour faire des discours politiques alors qu’il avait pris l’engagement de stopper cette pratique », a déclaré Paul Bérenger.
Le leader mauve n’a pas non plus digéré le terme « cholo », utilisé par le Premier ministre cette semaine à l’égard du député Shakeel Mohamed. « C’est totalement inacceptable et inapproprié pour un Premier ministre de venir insulter en public un membre de l’Assemblée nationale », a-t-il souligné.
Concernant les infiltrations d’eau au Parlement, Paul Bérenger a déploré le fait que le leader du MSM n’ait pas vérifié ses informations avant de les évoquer dans ses discours. Il a fait référence au contrat octroyé à la firme Ireko, qui appartenait au défunt groupe BAI, qui avait obtenu un contrat pour la rénovation d’une partie du bâtiment de l’hôtel du gouvernement.
Enfin, concernant les amendements apportés à l’Information and Communication Technologies Act, il prédit qu’ils finiront devant la Cour suprême ou même le Privy Council. Selon le leader du MMM, cette loi vise à instaurer un sentiment de peur au sein de la population.
D’où son appel au chef du gouvernement pour qu’il « se ressaisisse ». « Il utilise les plateformes religieuses pour faire des discours politiques alors qu’il avait pris l’engagement de stopper cette pratique », a déclaré Paul Bérenger.
Le leader mauve n’a pas non plus digéré le terme « cholo », utilisé par le Premier ministre cette semaine à l’égard du député Shakeel Mohamed. « C’est totalement inacceptable et inapproprié pour un Premier ministre de venir insulter en public un membre de l’Assemblée nationale », a-t-il souligné.
Concernant les infiltrations d’eau au Parlement, Paul Bérenger a déploré le fait que le leader du MSM n’ait pas vérifié ses informations avant de les évoquer dans ses discours. Il a fait référence au contrat octroyé à la firme Ireko, qui appartenait au défunt groupe BAI, qui avait obtenu un contrat pour la rénovation d’une partie du bâtiment de l’hôtel du gouvernement.
Enfin, concernant les amendements apportés à l’Information and Communication Technologies Act, il prédit qu’ils finiront devant la Cour suprême ou même le Privy Council. Selon le leader du MMM, cette loi vise à instaurer un sentiment de peur au sein de la population.