Le chef de file du PTr au Parlement avait soumis quatre questions au Clerk de l’Assemblée nationale en vue de la séance de ce mardi. L’une d’elles portait sur la décision du Commissaire de police de retenir les services d’avocats du privé.
Arvin Boolell demandait au Premier ministre d’indiquer s’il avait évoqué la question avec le patron des Casernes centrales. Cette question a été rejetée par le Speaker. Arvin Boolell demandait voulait aussi savoir si la Financial Intelligence Unit avait initié une enquête sur un supposé partenariat entre l’ASP Ashik Jagai et Franklin. Cette question a été modifiée afin d’enlever toute allusion à l’ASP Jagai.
Cette situation a été évoquée lors de la rencontre des élus de l’opposition au bureau de Xavier-Luc Duval lundi. À sa sortie, Arvin Boolell a déclaré à un média que la Constitution donne certains pouvoirs au Speaker mais que « ce n’est pas un passeport pour effacer des questions ». Il a ajouté que Sooroojdev Phokeer « agit de mauvaise foi ». Il a aussi déclaré qu’il a évoqué le sujet avec l’Acting Clerk de l’Assemblée nationale. « J’ai eu des raisons farfelues », a-t-il déclaré.
Arvin Boolell demandait au Premier ministre d’indiquer s’il avait évoqué la question avec le patron des Casernes centrales. Cette question a été rejetée par le Speaker. Arvin Boolell demandait voulait aussi savoir si la Financial Intelligence Unit avait initié une enquête sur un supposé partenariat entre l’ASP Ashik Jagai et Franklin. Cette question a été modifiée afin d’enlever toute allusion à l’ASP Jagai.
Cette situation a été évoquée lors de la rencontre des élus de l’opposition au bureau de Xavier-Luc Duval lundi. À sa sortie, Arvin Boolell a déclaré à un média que la Constitution donne certains pouvoirs au Speaker mais que « ce n’est pas un passeport pour effacer des questions ». Il a ajouté que Sooroojdev Phokeer « agit de mauvaise foi ». Il a aussi déclaré qu’il a évoqué le sujet avec l’Acting Clerk de l’Assemblée nationale. « J’ai eu des raisons farfelues », a-t-il déclaré.
