Depuis quelques jours, c'est une désagréable surprise pour les riverains, une coulée saumâtre se déverse dans le lagon de Blue Bay.
Ce qui s'apparente à des eaux usées, s'écoulent des tuyaux avec une odeur nauséabonde dans le lagon. A ce jour, aucun plan d'action n'a été mis en place par les gardes-côtes pour protéger la zone concernée par ce déversement et pour contenir le sinistre.
Le tuyau après enquête, vient des toilettes publiques de la plage de Blue Bay, les dernières grosses marées ayant érodées la plage, le tuyau est maintenant visible.
La Beach Authority aurait confirmé auprès des membres de la page EcoSud que c'est un tuyau qui n'est plus en utilisation depuis longtemps. Le nécessaire pour l'enlever doit se faire bientôt.
Nous rappelons que le parc marin de Blue Bay c'est aussi plus de 38 espèces de coraux dont certains on été datés de 1000 ans, 72 espèces de poissons, 31 espèces d’algues, 2 espèces de mangroves et 4 espèces de pharénogames y ont été identifiés. Le site est également fréquenté par plusieurs espèces de tortues marines.
D’une superficie de 353 hectares, ce site a accédé au statut de parc marin sous le « Wildlife and National Parks Act de 1993 », et est devenue zone protégée en 2000 sous le « Fisheries and Marine Act 1998 ». Depuis 2008, il est classé site RAMSAR d’importance mondiale.
Ce qui s'apparente à des eaux usées, s'écoulent des tuyaux avec une odeur nauséabonde dans le lagon. A ce jour, aucun plan d'action n'a été mis en place par les gardes-côtes pour protéger la zone concernée par ce déversement et pour contenir le sinistre.
Le tuyau après enquête, vient des toilettes publiques de la plage de Blue Bay, les dernières grosses marées ayant érodées la plage, le tuyau est maintenant visible.
La Beach Authority aurait confirmé auprès des membres de la page EcoSud que c'est un tuyau qui n'est plus en utilisation depuis longtemps. Le nécessaire pour l'enlever doit se faire bientôt.
Nous rappelons que le parc marin de Blue Bay c'est aussi plus de 38 espèces de coraux dont certains on été datés de 1000 ans, 72 espèces de poissons, 31 espèces d’algues, 2 espèces de mangroves et 4 espèces de pharénogames y ont été identifiés. Le site est également fréquenté par plusieurs espèces de tortues marines.
D’une superficie de 353 hectares, ce site a accédé au statut de parc marin sous le « Wildlife and National Parks Act de 1993 », et est devenue zone protégée en 2000 sous le « Fisheries and Marine Act 1998 ». Depuis 2008, il est classé site RAMSAR d’importance mondiale.