@ GIS Mauritius
Le «roder bout» par excellence qui clame à qui veut l'entendre que «Mo pena lider politik, mo leader est Zezu Chirst» et que son «programme politique est l’Evangile», est aussi connu pour jouer au pompier au service du gouvernement à chaque dérapage, et comme ils sont nombreux, pour rapprocher une communauté spécifique de l'île.
Quand Pravind Jugnauth rencontre les Eglises Pentecôtistes
Certainement pour ses services rendis, c'est ainsi que le presbytère de l’église Saint François d’Assise à Pamplemousses – qui est classé patrimoine national depuis 2016 – et qui dépend du diocèse de Port-Louis, bénéficiera d’une allocation sur deux ans de Rs 10 millions pour sa rénovation. Ainsi en a décidé le Financial Secretary, Dev Manraj, à la suite d'une lettre adressée le 12 novembre à son ministère. Le presbytère est géré par nul autre que le père Jocelyn Grégoire, curé de la paroisse de Saint-François d’Assise.
Placée sous le vocable de Saint-François-d’Assise en l’honneur de François Mahé de La Bourdonnais qui l’a inaugurée, la paroisse devient le 3ème centre religieux du pays englobant jusqu’en 1770 toute la partie nord de l’Ile et une grande partie de Flacq et de Moka qui ne seront érigées en paroisses qu’en 1770 avec l’église Saint-Pierre à Moka et Saint-Julien à Flacq.
A lire également : Rassemblement des organisations créoles : le père Grégoire, la cible des critiques
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Certainement pour ses services rendis, c'est ainsi que le presbytère de l’église Saint François d’Assise à Pamplemousses – qui est classé patrimoine national depuis 2016 – et qui dépend du diocèse de Port-Louis, bénéficiera d’une allocation sur deux ans de Rs 10 millions pour sa rénovation. Ainsi en a décidé le Financial Secretary, Dev Manraj, à la suite d'une lettre adressée le 12 novembre à son ministère. Le presbytère est géré par nul autre que le père Jocelyn Grégoire, curé de la paroisse de Saint-François d’Assise.
Placée sous le vocable de Saint-François-d’Assise en l’honneur de François Mahé de La Bourdonnais qui l’a inaugurée, la paroisse devient le 3ème centre religieux du pays englobant jusqu’en 1770 toute la partie nord de l’Ile et une grande partie de Flacq et de Moka qui ne seront érigées en paroisses qu’en 1770 avec l’église Saint-Pierre à Moka et Saint-Julien à Flacq.
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