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Xavier-Luc Duval a allégué que le conseiller en communication de l’ancien ministre Vishnu Lutchmeenaraidoo, aujourd’hui de Nando Bodha, a obtenu Rs 5 millions d’actions pour faciliter l’octroi de cette licence. Il l’a déclaré lors de la Private Notice Question mardi, consacrée à Planet FM.
Pour le leader de l’opposition le rôle joué par Akilesh Roopun, qui devait au départ devenir l’un des directeurs de la radio, relève d’un délit sous la Prevention of Corruption Act. Xavier-Luc Duval a d’ailleurs demandé à ce que la Commission anticorruption soit saisie de l’affaire.
Toutefois, le ministre des TICs, Yogida Sawmynaden, a soutenu mordicus que le nom d’Akilesh Roopun ne figure pas dans les documents en sa possession et chose intéressante, qu'il ne connaît même pas le monsieur.
La réaction d’Akilesh Roopun, conseiller au ministère des Affaires étrangères, n’a pas tardé après que son nom a été cité par le leader de l’opposition. «Je ne sais pas d’où le leader de l’opposition détient ces informations. Je n’ai pas d’actions au sein de la radio».
Akilesh Roopun a également précisé «qu’il avait été approché pour occuper le poste de Chief Executive Officer (CEO) de Planet FM mais qu’il a décliné l’offre car son contrat au ministère a été étendu».
Les murs ont des oreilles
Si Akilesh Roopun réfute les propos du leader de l’opposition à son égard et indique que n’importe qui peut aller vérifier l’identité de actionnaires de Planet FM auprès du Registrar of Companies. Il est à noter que selon différentes sources concordantes, c'est bel et bien Akilesh Roopun, conseiller dans un ministère de l'Etat, qui a chapeauté les entretiens en vue de recruter les animateurs/animatrices de la radio privée Planet Fm. Si son nom n'apparaît pas dans les registres des compagnies, il est tout aussi facile de vérifier auprès du personnel, sa participation au sein de cette radio.
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La saga Planet Fm : démêler les fils de l'écheveau
Pour le leader de l’opposition le rôle joué par Akilesh Roopun, qui devait au départ devenir l’un des directeurs de la radio, relève d’un délit sous la Prevention of Corruption Act. Xavier-Luc Duval a d’ailleurs demandé à ce que la Commission anticorruption soit saisie de l’affaire.
Toutefois, le ministre des TICs, Yogida Sawmynaden, a soutenu mordicus que le nom d’Akilesh Roopun ne figure pas dans les documents en sa possession et chose intéressante, qu'il ne connaît même pas le monsieur.
La réaction d’Akilesh Roopun, conseiller au ministère des Affaires étrangères, n’a pas tardé après que son nom a été cité par le leader de l’opposition. «Je ne sais pas d’où le leader de l’opposition détient ces informations. Je n’ai pas d’actions au sein de la radio».
Akilesh Roopun a également précisé «qu’il avait été approché pour occuper le poste de Chief Executive Officer (CEO) de Planet FM mais qu’il a décliné l’offre car son contrat au ministère a été étendu».
Les murs ont des oreilles
Si Akilesh Roopun réfute les propos du leader de l’opposition à son égard et indique que n’importe qui peut aller vérifier l’identité de actionnaires de Planet FM auprès du Registrar of Companies. Il est à noter que selon différentes sources concordantes, c'est bel et bien Akilesh Roopun, conseiller dans un ministère de l'Etat, qui a chapeauté les entretiens en vue de recruter les animateurs/animatrices de la radio privée Planet Fm. Si son nom n'apparaît pas dans les registres des compagnies, il est tout aussi facile de vérifier auprès du personnel, sa participation au sein de cette radio.
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