Il a été sévèrement critiqué par la commission d’enquête sur la vente des actions de Britam. Roshi Bhadain estime que : (i) la commission est « un outil politique » ; (ii) le rapport est « la preuve de la vengeance du gouvernement » ; (iii) le président (l’ex-juge Bushan Domah) est en situation de conflit d’intérêts et (iv) l’assesseur Sattar Hajee Abdoula est aussi en situation de conflit d’intérêts (étant membre de Lakwizinn et ayant été impliqué dans les négociations avec l’ex-BAI). Mais ce n’est pas son seul problème en ce moment.
Roshi Bhadain a été convoqué par le Bar Council après une plainte concernant Me Narghis Bundhun, qui est, rappelons-le, l’ancienne présidente du Bar Council. Roshi Bhadain avait été convoqué au siège du Bar Council mardi. Mais étant pris dans l’enquête judiciaire sur la mort de Soopramanien Kistnen, il a demandé un renvoi. Sa requête a été accédée par Me Yatin Varma, président du Conseil de l’ordre des avocats.
Me Roshi Bhadain devra revenir à une date ultérieure pour fournir ses explications sur les propos qu’il aurait tenus à l’égard de Me Narghis Bundhun. La Senior Counsel l’accuse, dans une déclaration à la presse après les travaux de l’enquête judiciaire dans l’affaire Kistnen, d’avoir tenu des propos déplacés et vulgaires à l’égard d’une femme. À un certain moment, Roshi Bhadain, qui évoquait la demande de Narghis Bundhun de l’appeler dans le box, a déclaré : « Mo pa koné kot li anvi mo rantré…» Se sortir de cette situation délicate pourrait être plus difficile que se défendre des critiques de la commission Domah !
Roshi Bhadain a été convoqué par le Bar Council après une plainte concernant Me Narghis Bundhun, qui est, rappelons-le, l’ancienne présidente du Bar Council. Roshi Bhadain avait été convoqué au siège du Bar Council mardi. Mais étant pris dans l’enquête judiciaire sur la mort de Soopramanien Kistnen, il a demandé un renvoi. Sa requête a été accédée par Me Yatin Varma, président du Conseil de l’ordre des avocats.
Me Roshi Bhadain devra revenir à une date ultérieure pour fournir ses explications sur les propos qu’il aurait tenus à l’égard de Me Narghis Bundhun. La Senior Counsel l’accuse, dans une déclaration à la presse après les travaux de l’enquête judiciaire dans l’affaire Kistnen, d’avoir tenu des propos déplacés et vulgaires à l’égard d’une femme. À un certain moment, Roshi Bhadain, qui évoquait la demande de Narghis Bundhun de l’appeler dans le box, a déclaré : « Mo pa koné kot li anvi mo rantré…» Se sortir de cette situation délicate pourrait être plus difficile que se défendre des critiques de la commission Domah !