Tels des pigeons voyageurs , Joe Lesjongard, le ministre de l'Énergie et Utilitaires publics, Steven Obeegadoo, ministre du Tourisme et du Logement, Anil Kumar Dip, le commissaire de police et Rashid (Ashit) Jagai sont en Inde.
Si Dip est allé réceptionner son Supercopter pour la bagatelle de Rs 1 milliard de roupies à Bengaluru en Inde, le très controversé ASP Ashit Jagai de la Special Striking Team y est aussi pour une formation sur la lutte contre le trafic de drogue depuis le 5 février. Rappelons que des rumeurs persistantes font état de liens très proches avec Jean Hubert Celerine, alias Franklin, un caïd de Rivière Noire, arrêté par l'Icac pour blanchiment d’argent.
Tout a démarré le 8 janvier dernier, lorsqu'une vidéo mise en ligne sur les réseaux sociaux intitulée «Akoz samem ine aret Bruneau !» évoquait un lien supposé entre l'assistant surintendant de police (ASP) Ashik Jagai et Jean Hubert Celerine, un dénommé «Gro-Franklin».
Selon cette source, l'arrestation de l'activiste et politicien Bruneau Laurette, le 4 novembre de l'année dernière, aurait un rapport avec ce que ce dernier s'apprêtait à dénoncer contre Ashik Jagai, le patron de la Special Striking Team. Rappelons que lors du rassemblement à Port-Louis, le 29 octobre 2022, l'activiste avait également pris pour cible l'ASP Ashik Jagai. Toujours selon ses sources, ce serait Franklin, connu comme un parrain dans la région de Flic-en-Flac, Tamarin, Rivière Noire et dans le Nord, qui jouit de la protection de l'ASP Jagai. Des informations qui jettent le trouble, c'est le moins que l'on puisse dire.
Trafic de zamal Réunion - Maurice : Entre 1 et 7 ans de prison pour les membres du réseau
N’en pouvant plus de ces allégations et insinuations, le haut gradé de police a porté plainte pour diffamation au CCID. Il soutient être victime de diffamation, tout comme la Police Head Quarters Special Striking Team, qu’il dirige. Jagai a dénoncé les articles de presse qui, selon lui, portent atteinte à son image et à sa réputation. Il parle d’informations infondées, fausses et non vérifiées. Il a totalement réfuté les allégations qu’il serait intervenu pour faire libérer Franklin ou alors pour faire arrêter quelqu’un d’autres. Mais est-ce que sous prétexte qu'il a été choisi pour être à la tête de la 'milice' du régime au pouvoir fait de lui un homme au-dessus de tout soupçon? La question se pose au sein même de la force policière. Est-ce qu'une enquête ne doit-elle pas être diligenter pour rester dans la transparence ?
Si Dip est allé réceptionner son Supercopter pour la bagatelle de Rs 1 milliard de roupies à Bengaluru en Inde, le très controversé ASP Ashit Jagai de la Special Striking Team y est aussi pour une formation sur la lutte contre le trafic de drogue depuis le 5 février. Rappelons que des rumeurs persistantes font état de liens très proches avec Jean Hubert Celerine, alias Franklin, un caïd de Rivière Noire, arrêté par l'Icac pour blanchiment d’argent.
Tout a démarré le 8 janvier dernier, lorsqu'une vidéo mise en ligne sur les réseaux sociaux intitulée «Akoz samem ine aret Bruneau !» évoquait un lien supposé entre l'assistant surintendant de police (ASP) Ashik Jagai et Jean Hubert Celerine, un dénommé «Gro-Franklin».
Selon cette source, l'arrestation de l'activiste et politicien Bruneau Laurette, le 4 novembre de l'année dernière, aurait un rapport avec ce que ce dernier s'apprêtait à dénoncer contre Ashik Jagai, le patron de la Special Striking Team. Rappelons que lors du rassemblement à Port-Louis, le 29 octobre 2022, l'activiste avait également pris pour cible l'ASP Ashik Jagai. Toujours selon ses sources, ce serait Franklin, connu comme un parrain dans la région de Flic-en-Flac, Tamarin, Rivière Noire et dans le Nord, qui jouit de la protection de l'ASP Jagai. Des informations qui jettent le trouble, c'est le moins que l'on puisse dire.
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N’en pouvant plus de ces allégations et insinuations, le haut gradé de police a porté plainte pour diffamation au CCID. Il soutient être victime de diffamation, tout comme la Police Head Quarters Special Striking Team, qu’il dirige. Jagai a dénoncé les articles de presse qui, selon lui, portent atteinte à son image et à sa réputation. Il parle d’informations infondées, fausses et non vérifiées. Il a totalement réfuté les allégations qu’il serait intervenu pour faire libérer Franklin ou alors pour faire arrêter quelqu’un d’autres. Mais est-ce que sous prétexte qu'il a été choisi pour être à la tête de la 'milice' du régime au pouvoir fait de lui un homme au-dessus de tout soupçon? La question se pose au sein même de la force policière. Est-ce qu'une enquête ne doit-elle pas être diligenter pour rester dans la transparence ?