Empêcher des journalistes de l’Express d’assister à des conférences de presse relève de la discrimination d’abord, mais équivaut aussi à une infraction à la liberté d’expression et la liberté d’informer, qui sont garanties par la Constitution.
Bref, c’est violer les droits constitutionnels de l’Express en tant qu’entité médiatique. C’est ce que soutient La Sentinelle, groupe de presse propriétaire de l’Express, dans une demande d’injonction logée en cour suprême vendredi.
L’action vise le Premier ministre, Pravind Jugnauth, et l’État mauricien. Le commissaire de police et le Master and Registrar sont cités comme codéfendeurs.
Le directeur des publications, Nad Sivaramen, demande à la justice d’émettre un ordre interdisant au Premier ministre et à l’État mauricien de continuer à bafouer ses droits constitutionnels en lui barrant l’accès aux conférences de presse officielles. Il demande aussi que cet ordre stipule qu’interdire l’accès aux conférences de presse aux journalistes de l’express constitue une infraction à la liberté d’expression et celle d’informer.
Bref, c’est violer les droits constitutionnels de l’Express en tant qu’entité médiatique. C’est ce que soutient La Sentinelle, groupe de presse propriétaire de l’Express, dans une demande d’injonction logée en cour suprême vendredi.
L’action vise le Premier ministre, Pravind Jugnauth, et l’État mauricien. Le commissaire de police et le Master and Registrar sont cités comme codéfendeurs.
Le directeur des publications, Nad Sivaramen, demande à la justice d’émettre un ordre interdisant au Premier ministre et à l’État mauricien de continuer à bafouer ses droits constitutionnels en lui barrant l’accès aux conférences de presse officielles. Il demande aussi que cet ordre stipule qu’interdire l’accès aux conférences de presse aux journalistes de l’express constitue une infraction à la liberté d’expression et celle d’informer.