La garde-côte nationale est malade. Et la Court of Investigation visant à faire la lumière sur l’échouage du Wakashio est en train de faire son bilan de santé. C’est la perception que l’on peut avoir en écoutant les dépositions des diverses garde-côtes qui ont déposé jusqu’ici.
On y apprend notamment que ce n’est qu’une heure après le naufrage, soit vers 20h20 le 25 juillet 2020, que des garde-côtes sont finalement arrivés sur le site du naufrage. On a aussi appris que le zodiac que deux officiers de la NCG ont pris ce jour-là ne peut aller que dans le lagon et non en pleine mer.
Certes, il pleuvait et il faisait nuit. Malheureusement, l’embarcation en question n’est pas doté de projecteur permettant de voir au loin. Ce n’est que récemment qu’ils ont obtenu des torche led. Et on ne parle pas des petites incohérences et des choses illogiques qui se déroulent dans les postes des garde-côtes.
Le président de la Court of Investigation, Abdurafeek Hamuth, ses assesseurs et le représentant du DPP s’intéressent à cet aspect actuellement. N’empêche que, déjà, on peut dire que le mal est profond. Un remède de cheval pourrait être requis… Il n’y a qu’à juger par le nombre de fois que le président est sorti de ses gonds.
On y apprend notamment que ce n’est qu’une heure après le naufrage, soit vers 20h20 le 25 juillet 2020, que des garde-côtes sont finalement arrivés sur le site du naufrage. On a aussi appris que le zodiac que deux officiers de la NCG ont pris ce jour-là ne peut aller que dans le lagon et non en pleine mer.
Certes, il pleuvait et il faisait nuit. Malheureusement, l’embarcation en question n’est pas doté de projecteur permettant de voir au loin. Ce n’est que récemment qu’ils ont obtenu des torche led. Et on ne parle pas des petites incohérences et des choses illogiques qui se déroulent dans les postes des garde-côtes.
Le président de la Court of Investigation, Abdurafeek Hamuth, ses assesseurs et le représentant du DPP s’intéressent à cet aspect actuellement. N’empêche que, déjà, on peut dire que le mal est profond. Un remède de cheval pourrait être requis… Il n’y a qu’à juger par le nombre de fois que le président est sorti de ses gonds.