C’est l’image qui est venue à notre esprit à l’issue de l’audience d’hier de la cour d’investigation visant à faire la lumière sur le naufrage du Wakashio.
Le Salvage Master Jerh Hendrick Robert Van Galder, de Smit Salvage, qui vit aux Pays-Bas, a été auditionné via visioconférence. Ce qui ressort de l’audience d’hier, c’est que le président, l’ancien juge Abdurafeek Hamuth, a reproché au Salvage Master d'avoir envoyé le risk assessment concernant une possible marée noire… après le début de la marée noire.
En fait, le président de l’instance a tenté à plusieurs reprises de savoir pourquoi un tel retard. Le fait est qu’il n’a pas eu de réponse. Jerh Hendrick Robert Van Galder a expliqué que le 27 juillet 2020, il a été informé par sa compagnie du naufrage du Wakashio et qu’il a débarqué à Maurice le 30.
Il a indiqué que sa mission première était de minimiser toute éventuelle pollution que le navire pourrait causer. Mais à un certain moment, l’ancien juge Hamuth lui a demandé quand a-t-il réalisé qu’une pollution était inévitable. Sa réponse a surpris plus d’un. Il a indiqué que tardivement. Cela, même s’il savait que le fait que le navire bougeait beaucoup représentait un risque. La prochaine audience aura lieu le 10 février.
Le Salvage Master Jerh Hendrick Robert Van Galder, de Smit Salvage, qui vit aux Pays-Bas, a été auditionné via visioconférence. Ce qui ressort de l’audience d’hier, c’est que le président, l’ancien juge Abdurafeek Hamuth, a reproché au Salvage Master d'avoir envoyé le risk assessment concernant une possible marée noire… après le début de la marée noire.
En fait, le président de l’instance a tenté à plusieurs reprises de savoir pourquoi un tel retard. Le fait est qu’il n’a pas eu de réponse. Jerh Hendrick Robert Van Galder a expliqué que le 27 juillet 2020, il a été informé par sa compagnie du naufrage du Wakashio et qu’il a débarqué à Maurice le 30.
Il a indiqué que sa mission première était de minimiser toute éventuelle pollution que le navire pourrait causer. Mais à un certain moment, l’ancien juge Hamuth lui a demandé quand a-t-il réalisé qu’une pollution était inévitable. Sa réponse a surpris plus d’un. Il a indiqué que tardivement. Cela, même s’il savait que le fait que le navire bougeait beaucoup représentait un risque. La prochaine audience aura lieu le 10 février.
