Deux des rescapés du naufrage du remorqueur Sir Gaetan ont déposé ce matin devant la Court of Investigation.
Ils ont déclaré ce que tout le monde savait. C’est-à-dire que le temps était inclément et la mer démonté ce jour-là. Ils ont aussi déclaré qu’à aucun moment ils n’avaient été informés que le remorqueur n’avait pas de certificat de sécurité. Et que, de ce fait, il n’était pas apte à prendre la mer.
Antonio L’Aiguille, un ingénieur marin, a été le premier à déposer. Il a expliqué que ce jour-là, soit le 31 août 2020, il remplaçait un collègue. Il a expliqué qu’une fois parvenus à Pointe d’Esny, compte tenu du temps, les membres d’équipage ont compris qu’ils ne pouvaient faire la même route en sens inverse. Ainsi, la décision, dans un premier temps, a été prise de demeurer à Pointe D’Esny. Mais, suite à une conversation entre le capitaine Bheenick et une personne par radio, la décision a été prise de mettre le cap sur Port-Louis. Mais deux heures plus tard, les membres d’équipage ont entendu un grand fracas.
Suite à la collision entre la barge L’Ami Constant et le remorqueur, un gros trou s’est formé dans la coque. Les membres d’équipage ont vainement tenté d’empêcher l’eau de pénétrer dans le remorqueur. C’est Antonio L’Aiguille qui a informé le capitaine Bheenick qu’il fallait quitter le navire. Les huit membres d’équipages ont enfilé leurs gilets de sauvetage et ont sauté par-dessus bord. Dans l’eau, ils ont formé une chaîne. Mais une grosse vague l’a brisée. L’autre rescapé, le technicien Yan Sang Fong, a confirmé les dires d’Antonio L’Aiguille. Rappelons qu’il y a eu quatre rescapés, trois morts et un disparu, déclaré mort par la suite.
Ils ont déclaré ce que tout le monde savait. C’est-à-dire que le temps était inclément et la mer démonté ce jour-là. Ils ont aussi déclaré qu’à aucun moment ils n’avaient été informés que le remorqueur n’avait pas de certificat de sécurité. Et que, de ce fait, il n’était pas apte à prendre la mer.
Antonio L’Aiguille, un ingénieur marin, a été le premier à déposer. Il a expliqué que ce jour-là, soit le 31 août 2020, il remplaçait un collègue. Il a expliqué qu’une fois parvenus à Pointe d’Esny, compte tenu du temps, les membres d’équipage ont compris qu’ils ne pouvaient faire la même route en sens inverse. Ainsi, la décision, dans un premier temps, a été prise de demeurer à Pointe D’Esny. Mais, suite à une conversation entre le capitaine Bheenick et une personne par radio, la décision a été prise de mettre le cap sur Port-Louis. Mais deux heures plus tard, les membres d’équipage ont entendu un grand fracas.
Suite à la collision entre la barge L’Ami Constant et le remorqueur, un gros trou s’est formé dans la coque. Les membres d’équipage ont vainement tenté d’empêcher l’eau de pénétrer dans le remorqueur. C’est Antonio L’Aiguille qui a informé le capitaine Bheenick qu’il fallait quitter le navire. Les huit membres d’équipages ont enfilé leurs gilets de sauvetage et ont sauté par-dessus bord. Dans l’eau, ils ont formé une chaîne. Mais une grosse vague l’a brisée. L’autre rescapé, le technicien Yan Sang Fong, a confirmé les dires d’Antonio L’Aiguille. Rappelons qu’il y a eu quatre rescapés, trois morts et un disparu, déclaré mort par la suite.
