Cela s’est passé vendredi. Le président de la cour d’investigation sur le naufrage du Sir Gaetan n’a pas supporté d’entendre le Corporate Auditor de la Mauritius Ports Authority insinuer que le capitaine Moswadeck Bheenick aurait dû faire une meilleure évaluation de la situation.
Gérard Angoh a presque bondi de son siège. « Tentez-vous de dire qu’il est à blâmer pour le naufrage ? » C’est la question que lui a posée l’ancien juge. « Non, non », a répondu le cadre. Et lorsque le même auditeur a expliqué qu’après le naufrage, il s’était vu confier la mission de faire une enquête, mais qu’il n’avait pas interrogé le capitaine du port et son adjoint, Gérard Angoh n’a pu se retenir. Il lui a demandé comment cela se faisait que deux personnes qui ont un rôle capital dans l’affaire n’ont pas été interrogées.
L’auditeur a répondu qu’ils étaient en congé forcé. Ce qui a eu le don d’irriter encore plus le président de la cour d’investigation qui estime que c’est une raison banale.
Gérard Angoh a presque bondi de son siège. « Tentez-vous de dire qu’il est à blâmer pour le naufrage ? » C’est la question que lui a posée l’ancien juge. « Non, non », a répondu le cadre. Et lorsque le même auditeur a expliqué qu’après le naufrage, il s’était vu confier la mission de faire une enquête, mais qu’il n’avait pas interrogé le capitaine du port et son adjoint, Gérard Angoh n’a pu se retenir. Il lui a demandé comment cela se faisait que deux personnes qui ont un rôle capital dans l’affaire n’ont pas été interrogées.
L’auditeur a répondu qu’ils étaient en congé forcé. Ce qui a eu le don d’irriter encore plus le président de la cour d’investigation qui estime que c’est une raison banale.
