Les travaux de la cour d’investigation sur le naufrage du Sir Gaëtan se sont poursuivis jeudi. Les auditions ont été assez intéressantes. Surtout celle de l’inspecteur Rose. Il était l’un des six témoins.
Il a expliqué que la garde-côte nationale n’était pas au courant de l’opération visant à remorquer la barge l’Ami Constant. Il a expliqué que ce jour-là, ses hommes ont aperçu le remorqueur sur le radar de l’Automatic Information System. Il était alors 19h01. Le remorqueur se trouvait à deux milles nautiques de Poste-Lafayette.
L’officier a indiqué à une question que ce n’est pas souvent qu’un remorqueur se retrouve à cet endroit. En plus, il ne bougeait pas. Il a expliqué qu’il a pris contact avec le poste de Poste Lafayette pour demander qu’une ligne de communication soit établie avec le remorqueur. Comme le remorqueur ne répondait pas, l’inspecteur Rose dit avoir appelé la Port-Louis Harbour Radio.
Il a eu un certain Coopoosamy qui lui a dit que tout allait bien, que le Sir Gaëtan remorquait une barge et que, s’il semble qu’il y a un problème, c’est que la mer démontée affectait l’opération. Il ajoute qu’à 01h43, le même Coopoosamy l’a appelé pour l’informer qu’il y a « un problème » et que de l’eau a commencé à pénétrer le moteur du Sir Gaëtan.
L’inspecteur Rose dit avoir contacté sa hiérarchie. Mais il a insisté que la National Coast Guard n’avait pas été informée de cette opération. Il a obtenu l’ordre d’envoyer une vedette au secours des membres d’équipage. Gérard Angoh, le président, qui ne rate aucun détail, a demandé combien de temps a pris l’embarcation pour rejoindre l’endroit où se trouvait le Sir Gaëtan. « Il n’est jamais arrive à cet endroit en raison de la mer démontée », a répondu le témoin. Et d’ajouter qu’aucune vedette « n’aurait pu braver un temps pareil et arriver sur place ». Mais il a indiqué que Le Dornier éclairait l’endroit.
Il a expliqué que la garde-côte nationale n’était pas au courant de l’opération visant à remorquer la barge l’Ami Constant. Il a expliqué que ce jour-là, ses hommes ont aperçu le remorqueur sur le radar de l’Automatic Information System. Il était alors 19h01. Le remorqueur se trouvait à deux milles nautiques de Poste-Lafayette.
L’officier a indiqué à une question que ce n’est pas souvent qu’un remorqueur se retrouve à cet endroit. En plus, il ne bougeait pas. Il a expliqué qu’il a pris contact avec le poste de Poste Lafayette pour demander qu’une ligne de communication soit établie avec le remorqueur. Comme le remorqueur ne répondait pas, l’inspecteur Rose dit avoir appelé la Port-Louis Harbour Radio.
Il a eu un certain Coopoosamy qui lui a dit que tout allait bien, que le Sir Gaëtan remorquait une barge et que, s’il semble qu’il y a un problème, c’est que la mer démontée affectait l’opération. Il ajoute qu’à 01h43, le même Coopoosamy l’a appelé pour l’informer qu’il y a « un problème » et que de l’eau a commencé à pénétrer le moteur du Sir Gaëtan.
L’inspecteur Rose dit avoir contacté sa hiérarchie. Mais il a insisté que la National Coast Guard n’avait pas été informée de cette opération. Il a obtenu l’ordre d’envoyer une vedette au secours des membres d’équipage. Gérard Angoh, le président, qui ne rate aucun détail, a demandé combien de temps a pris l’embarcation pour rejoindre l’endroit où se trouvait le Sir Gaëtan. « Il n’est jamais arrive à cet endroit en raison de la mer démontée », a répondu le témoin. Et d’ajouter qu’aucune vedette « n’aurait pu braver un temps pareil et arriver sur place ». Mais il a indiqué que Le Dornier éclairait l’endroit.
