Les dégâts climatiques survenus en Asie ces derniers mois risquent d’impacter directement les Mauriciens d’ici 2023. Le riz, aliment de base de la cuisine locale, est menacé de pénurie. À l’instar de l’huile en avril dernier, dont les stocks se sont écoulés dès l’annonce d’un risque de pénurie, provoquant la cohue, la menace qui plane sur le riz pourrait participer à une transition alimentaire locale.
“Revoir notre base de féculents”
Une consommation de riz blanc en très grande quantité est associée au risque de développer un diabète. Difficile de changer les habitudes alimentaires, pourtant, l’île dispose de nombreuses alternatives au riz qui se sont perdues au fil du temps : des tubercules du type manioc, songe, cambarre, patate douce, fruits à pain.
Rappelons que les principaux producteurs de riz, et notamment de riz basmati, que sont l’Inde et le Pakistan ont été touchés ces derniers mois par des fortes chaleurs puis de fortes pluies et inondations.
“Revoir notre base de féculents”
Une consommation de riz blanc en très grande quantité est associée au risque de développer un diabète. Difficile de changer les habitudes alimentaires, pourtant, l’île dispose de nombreuses alternatives au riz qui se sont perdues au fil du temps : des tubercules du type manioc, songe, cambarre, patate douce, fruits à pain.
Rappelons que les principaux producteurs de riz, et notamment de riz basmati, que sont l’Inde et le Pakistan ont été touchés ces derniers mois par des fortes chaleurs puis de fortes pluies et inondations.