Quand dans le nom d’une société, il y a People, c’est-à-dire le peuple, alors il est préférable de prendre ses jambes à son cou. La People’s Republic of China, soit la République populaire de Chine, est tout sauf une République et représente tous les concepts que vous voulez… à l’exception du peuple.
Donc, lorsque vous avez une compagnie qui choisit pour nom People’s Turf PLC Ltd, c’est le mot People’s qui doit nous interpeller. Il n’y a qu’un corrompu qui choisirait le terme « People » pour son entreprise. Nous précisons que le sort du Mauritius Turf Club nous importe peu. Le petit club des élitistes portait les germes de sa propre destruction. Mais que le MTC soit sacrifié sur l’autel de la gourmandise d’un seul homme, uniquement parce qu’il a financé le gouvernement, il y a quelque chose de pourri au royaume de Pravind Jugnauth.
Rama Valayden livre les secrets de la Pieuvre : le parrain des jeux Jean-Michel Lee Shim
Donc, la People’s Turf Plc Ltd, qui a moins d’une année d’existence, souhaite devenir l’organisatrice des courses hippiques à Maurice. Peut-être qu’elle ne va pas y réussir cette année. Mais, marké gardé ou maryé piké, il détrônera le Mauritius Turf Club. Son Chief Executive Officer, Khulwant Ubheeram, jure sur tous les dieux de l’Olympe qu’il n’est pas l’homme de paille de Jean-Michel Lee Shim, qu’il connaît pourtant. Difficile de le croire ! Vous croyez qu’il a aurait demandé une licence d’organisateur de courses auprès de la Gambling Regulatory Authority sans avoir de puissant soutiens. Donc, un petit hippodrome dans le Nord et bientôt une licence d’organisatrice de courses. La mort du MTC est déjà programmée, nous dirait Hitchcock.
Donc, lorsque vous avez une compagnie qui choisit pour nom People’s Turf PLC Ltd, c’est le mot People’s qui doit nous interpeller. Il n’y a qu’un corrompu qui choisirait le terme « People » pour son entreprise. Nous précisons que le sort du Mauritius Turf Club nous importe peu. Le petit club des élitistes portait les germes de sa propre destruction. Mais que le MTC soit sacrifié sur l’autel de la gourmandise d’un seul homme, uniquement parce qu’il a financé le gouvernement, il y a quelque chose de pourri au royaume de Pravind Jugnauth.
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