Sous le feux des projecteurs depuis son agression contre un infirmier indien à la clinique Welkin à Moka, le député du Mouvement Socialiste Militant (MSM), Kenny Dhunoo fait parler de lui dans une toute autre affaire, qui s'est déroulée cette fois-ci dans la Grande péninsule.
Alors que les aspirants ou élus de la République (Adrian Duval, Tania Diolle, Subashnee Lutchmun Roy, Joanna Bérenger, Ismaël Rawoo, Kenny Dhunoo, RItesh Ramful), étaient en "mission" en Inde pour représenter dignement le pays dans le cadre d'une invitation de la Gen Next Democraty Network organisé par le Conseil indien pour les relations culturelles, qui a duré 12 jours, l'album de vacances a été entaché de graves allégations venant d'un député.
Celui qui est l'instigateur du renvoi de la journaliste Manisha Jooty de la MBC aurait aussi les mains baladeuses. Le député est accusé d'avoir eu un comportement et une attitude inappropriés sur deux membres féminines de la délégation étrangère. Rappelons que son épouse, était également du voyage, s'étant imposée parmi la délégation officielle et allant jusqu'à prendre la parole.
Deux déléguées étrangères qui faisaient également partie du programme en Inde se sont plaintes auprès de plusieurs participants de la délégation mauricienne et des organisateurs de l’événement concernant le comportement inapproprié du député du MSM. A noter, selon nos sources, que les deux autres membres de la majorité présentes, grandes défenseuses de la cause féminine, ont tenté d'étouffer l'affaire. Fort heureusement une seule voix s'est élevée, bien qu’aucune plainte officielle n’ait été enregistrée.
La députée du MMM, Joanna Bérenger sur sa page Facebook a publié : "Suite à un article paru dans l'Express de ce matin, je confirme que de graves allégations ont été faites par deux déléguées de pays étrangers contre un collègue parlementaire lors de notre séjour en Inde dans le cadre du 4ème programme du 'Gen Next Democracy Network'. Je n'ai cependant pas été témoin direct et les victimes semblaient ne pas vouloir porter plainte dans un premier temps, un choix qu'il était dans notre devoir de respecter. Mais s'il s'avère qu'elles souhaitent obtenir réparation en justice, ou si nos autorités mauriciennes souhaitent sérieusement enquêter et sévir contre ce comportement indigne d'un représentant de la nation, je serai évidemment disposée à apporter mon soutien à l'enquête".
Alors que les aspirants ou élus de la République (Adrian Duval, Tania Diolle, Subashnee Lutchmun Roy, Joanna Bérenger, Ismaël Rawoo, Kenny Dhunoo, RItesh Ramful), étaient en "mission" en Inde pour représenter dignement le pays dans le cadre d'une invitation de la Gen Next Democraty Network organisé par le Conseil indien pour les relations culturelles, qui a duré 12 jours, l'album de vacances a été entaché de graves allégations venant d'un député.
Celui qui est l'instigateur du renvoi de la journaliste Manisha Jooty de la MBC aurait aussi les mains baladeuses. Le député est accusé d'avoir eu un comportement et une attitude inappropriés sur deux membres féminines de la délégation étrangère. Rappelons que son épouse, était également du voyage, s'étant imposée parmi la délégation officielle et allant jusqu'à prendre la parole.
Deux déléguées étrangères qui faisaient également partie du programme en Inde se sont plaintes auprès de plusieurs participants de la délégation mauricienne et des organisateurs de l’événement concernant le comportement inapproprié du député du MSM. A noter, selon nos sources, que les deux autres membres de la majorité présentes, grandes défenseuses de la cause féminine, ont tenté d'étouffer l'affaire. Fort heureusement une seule voix s'est élevée, bien qu’aucune plainte officielle n’ait été enregistrée.
La députée du MMM, Joanna Bérenger sur sa page Facebook a publié : "Suite à un article paru dans l'Express de ce matin, je confirme que de graves allégations ont été faites par deux déléguées de pays étrangers contre un collègue parlementaire lors de notre séjour en Inde dans le cadre du 4ème programme du 'Gen Next Democracy Network'. Je n'ai cependant pas été témoin direct et les victimes semblaient ne pas vouloir porter plainte dans un premier temps, un choix qu'il était dans notre devoir de respecter. Mais s'il s'avère qu'elles souhaitent obtenir réparation en justice, ou si nos autorités mauriciennes souhaitent sérieusement enquêter et sévir contre ce comportement indigne d'un représentant de la nation, je serai évidemment disposée à apporter mon soutien à l'enquête".