Coupable ! Jonathan James Ramaswamy a été trouvé coupable du meurtre de la petite Marie Helena Eleana Gentil, 11 ans.
Le verdict a été rendu par la cour d’assises. Il y avait aucun suspens concernant l’issue du procès car le suspect avait déjà plaidé coupable. Ce n’était donc qu’une question de formalité. Le crime a été commis le 6 avril 2015 à Lapeyre Hill, à Nouvelle-France.
À l’époque, Jonathan James Ramaswamy était âgé de 26 ans. Il habitait 16e Mille, Forest-Side. C’est son ADN qui l’a trahi. La petite avait été agressée sexuellement et laissée pour morte. Elle était portée manquante le 6 avril 2015. Mais son corps n’a été retrouvé que le 15 avril 2015, à Nouvelle-France.
Dans son réquisitoire, Me Jean Michel Ah Sen, Senior Assistant Director of Public Prosecutions, a demandé la prison à vie. Il évoqué le fait que l’accusé n’a jamais exprimé de remords. Il a rappelé que Jonathan James Ramaswamy avait tout nié jusqu’à ce qu’il soit mis en présence des résultats des analyses d’ADN. Me Taij Dabycharun, l’avocat de l’accusé, a insisté sur le fait que son client a plaidé coupable et a ainsi économisé le temps de la cour. La sentence a été mise en délibéré.
Le verdict a été rendu par la cour d’assises. Il y avait aucun suspens concernant l’issue du procès car le suspect avait déjà plaidé coupable. Ce n’était donc qu’une question de formalité. Le crime a été commis le 6 avril 2015 à Lapeyre Hill, à Nouvelle-France.
À l’époque, Jonathan James Ramaswamy était âgé de 26 ans. Il habitait 16e Mille, Forest-Side. C’est son ADN qui l’a trahi. La petite avait été agressée sexuellement et laissée pour morte. Elle était portée manquante le 6 avril 2015. Mais son corps n’a été retrouvé que le 15 avril 2015, à Nouvelle-France.
Dans son réquisitoire, Me Jean Michel Ah Sen, Senior Assistant Director of Public Prosecutions, a demandé la prison à vie. Il évoqué le fait que l’accusé n’a jamais exprimé de remords. Il a rappelé que Jonathan James Ramaswamy avait tout nié jusqu’à ce qu’il soit mis en présence des résultats des analyses d’ADN. Me Taij Dabycharun, l’avocat de l’accusé, a insisté sur le fait que son client a plaidé coupable et a ainsi économisé le temps de la cour. La sentence a été mise en délibéré.
