Fait marquant, qui prête à sourire ou au pire à désespérer, cette soirée qui est censée récompenser la crème du journalisme à Maurice, n'a eu aucun gagnant pour le prix Nicolas Lambert qui récompense le ou la journaliste de l'année.
Non plus dans les catégories suivantes : meilleure production radiophonique, meilleure caricature et le prix récompensant la meilleure photo.
Réalisme cruelle de l'état du niveau journalisme à Maurice ou médiocrité ambiante ?
Raison évoquée, les entrées soumises dans ces catégories n'ont pas conquis le jury et n'étaient pas à la hauteur selon eux. Constat alarmant qui mériterait une sérieuse remise en question.
Un jury présidé par Christina Chan-Meetoo, chargée de cours en communication à l'Université de Maurice, (épouse de Avinash Meetoo – Président du conseil d’administration de l’ICT Advisory Committee – Fils de Rouma Meetoo, ex-maire de Quatre-Bornes ), Rajen Bablee, directeur exécutif de Transparency Mauritius, d'Ariane Cavalot de l'Estrac, ancienne directrice des publications de La Sentinelle (belle-fille de Jean-Claude de l'Estrac, ex membre et journaliste de la Sentinelle), de Bruno Albin, ancien journaliste, et de Robert Furlong.
En revanche, huit journalistes ont été récompensés pour leur travail dans d'autres catégories :
1-Roshan Hassamal (MBC), beau-frère de Ravi Yerrigadoo, ex-Attorney General, dans la catégorie de développement durable
2- Azeem Khodabux (MBC ), ex Défi, dans la catégorie d'égalité du genre
3-Benito Paris (MBC) dans la catégorie sport
4- Nafisah Fakun (News on Sunday, une publication du Défi Media Group) dans la catégorie économie et finances
5- Yashraj Saurty (Top FM) dans la catégorie multimédia
6- Eve Fidèle (Business Magazine) dans la catégorie presse écrite
7/8 Rizwan Khodabux et Fernando Thomas du Défi Media Group dans la catégorie du meilleur article d'investigation.
Non plus dans les catégories suivantes : meilleure production radiophonique, meilleure caricature et le prix récompensant la meilleure photo.
Réalisme cruelle de l'état du niveau journalisme à Maurice ou médiocrité ambiante ?
Raison évoquée, les entrées soumises dans ces catégories n'ont pas conquis le jury et n'étaient pas à la hauteur selon eux. Constat alarmant qui mériterait une sérieuse remise en question.
Un jury présidé par Christina Chan-Meetoo, chargée de cours en communication à l'Université de Maurice, (épouse de Avinash Meetoo – Président du conseil d’administration de l’ICT Advisory Committee – Fils de Rouma Meetoo, ex-maire de Quatre-Bornes ), Rajen Bablee, directeur exécutif de Transparency Mauritius, d'Ariane Cavalot de l'Estrac, ancienne directrice des publications de La Sentinelle (belle-fille de Jean-Claude de l'Estrac, ex membre et journaliste de la Sentinelle), de Bruno Albin, ancien journaliste, et de Robert Furlong.
En revanche, huit journalistes ont été récompensés pour leur travail dans d'autres catégories :
1-Roshan Hassamal (MBC), beau-frère de Ravi Yerrigadoo, ex-Attorney General, dans la catégorie de développement durable
2- Azeem Khodabux (MBC ), ex Défi, dans la catégorie d'égalité du genre
3-Benito Paris (MBC) dans la catégorie sport
4- Nafisah Fakun (News on Sunday, une publication du Défi Media Group) dans la catégorie économie et finances
5- Yashraj Saurty (Top FM) dans la catégorie multimédia
6- Eve Fidèle (Business Magazine) dans la catégorie presse écrite
7/8 Rizwan Khodabux et Fernando Thomas du Défi Media Group dans la catégorie du meilleur article d'investigation.
