![[Média] Do more with less : Les employés d'un groupe de presse se rebiffent](https://www.zinfos-moris.com/photo/art/grande/68432418-48146827.jpg?v=1667278682 "[Média] Do more with less : Les employés d'un groupe de presse se rebiffent")
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C'est ce que révèle la dernière publication de l'association Employés des médias. Elle est illustrée par une lettre, envoyée à un consultant dont les services avait été retenu par le groupe de presse à l'époque, mais aussi le ministère du Travail et le Media Trust.
Dans cette correspondance, il est reproché au consultant d'avoir fait un constat, et d'avoir empoché un pactole, sans rencontrer tous les employés du groupe. Les signataires de la lettre l'accusent aussi de porter très loin le moto du patron, qui est de faire plus avec moins. Do more with less ! Soit faisons plus avec moins de personnel ! Cette politique, selon ces employés, « est en train de transformer nombre de journalistes de la presse écrite en zombies ». Il est précisé que l'équipe Actu a des conditions de travail ignobles et qu'ils font, des fois, jusqu'à 12 heures par jour... Sans être payé pour les heures supplémentaires.
Les signataires soutiennent que les jours off ne sont pas garantis. Ils déplorent le fait de devoir travailler comme des zombies alors que les « deux fils du CEO » sont grassement payés pour le rien faire. Vous n'avez pas encore deviné de quel groupe il s'agit ? Facile.
Dans cette correspondance, il est reproché au consultant d'avoir fait un constat, et d'avoir empoché un pactole, sans rencontrer tous les employés du groupe. Les signataires de la lettre l'accusent aussi de porter très loin le moto du patron, qui est de faire plus avec moins. Do more with less ! Soit faisons plus avec moins de personnel ! Cette politique, selon ces employés, « est en train de transformer nombre de journalistes de la presse écrite en zombies ». Il est précisé que l'équipe Actu a des conditions de travail ignobles et qu'ils font, des fois, jusqu'à 12 heures par jour... Sans être payé pour les heures supplémentaires.
Les signataires soutiennent que les jours off ne sont pas garantis. Ils déplorent le fait de devoir travailler comme des zombies alors que les « deux fils du CEO » sont grassement payés pour le rien faire. Vous n'avez pas encore deviné de quel groupe il s'agit ? Facile.
