C’est la question que pose Me Satyajit Boolell dans une vidéo contenu dans la dernière édition de l’e-newsletter de son bureau. En fait, c’est l’une des questions. Car le DPP en pose beaucoup.
Comment les paiements se font-ils ? Est-ce que cela se fait à travers notre système financier ? Est-ce que les trafiquants de drogue prennent avantage du secret bancaire ? Y a-t-il un manque de vigilance dans notre système financier ? Voilà quelques-unes des interrogations, très pertinentes, que pose Me Satyajit Boolell.
Et le DPP se souligner qu’il n’est pas là pour passer des jugements, mais cela explique pourquoi la GAFI et l’Union européenne, qui sont les chiens de garde internationaux, ont placé Maurice sous surveillance.
Et le DPP d’enfoncer le clou. « Y a-t-il un silence coupable des opérateurs économiques ? » Il a évoqué deux cas, celui de Wirecard en Allemagne et un autre en Inde, où il est mentionné que l’argent a transité du centre financier mauricien. C’est ce qui explique son appel à ce que les opérateurs économiques, les enquêteurs, les procureurs et les régulateurs se serrent les coudes et oeuvrent dans la transparence. C’est l’unique façon de permettre au pays de sortir gagnant de ce combat.
Comment les paiements se font-ils ? Est-ce que cela se fait à travers notre système financier ? Est-ce que les trafiquants de drogue prennent avantage du secret bancaire ? Y a-t-il un manque de vigilance dans notre système financier ? Voilà quelques-unes des interrogations, très pertinentes, que pose Me Satyajit Boolell.
Et le DPP se souligner qu’il n’est pas là pour passer des jugements, mais cela explique pourquoi la GAFI et l’Union européenne, qui sont les chiens de garde internationaux, ont placé Maurice sous surveillance.
Et le DPP d’enfoncer le clou. « Y a-t-il un silence coupable des opérateurs économiques ? » Il a évoqué deux cas, celui de Wirecard en Allemagne et un autre en Inde, où il est mentionné que l’argent a transité du centre financier mauricien. C’est ce qui explique son appel à ce que les opérateurs économiques, les enquêteurs, les procureurs et les régulateurs se serrent les coudes et oeuvrent dans la transparence. C’est l’unique façon de permettre au pays de sortir gagnant de ce combat.
