Ses avoirs étant gelés, aurait-il besoin de fric ? En tout cas, alors qu’il a démissionné de son poste de Chief Executive Officer de Mauritius Telecom, Sherry Singh vient d’intenter un procès à l’organisme pour rupture de contrat.
Le patron de One Moris réclame plus de Rs 8,6 millions en guise d’indemnités. Il dit avoir subi un grand préjudice. Dans sa plainte, Sherry Singh rappelle qu’il a été le CEO de Mauritius Telecom durant 5 ans. Il a démissionné le 30 juin 2022 en donnant un préavis de trois mois. Il avait aussi demandé un congé d’une semaine. Sa requête avait été agréée verbalement, allègue-t-il.
Cependant, au 1er juillet 2022, il a été déconnecté de l'annuaire actif de MT. De plus, toutes ses connexions avec Mauritius Telecom ont été coupées. Étonnant pour une entreprise opérant dans le secteur des télécommunications. Pour Sherry Singh, des mesures unilatérales ont été prises par Mauritius Telecom pour l’isoler et l'empêcher d'exercer sa fonction professionnelle. Il soutient qu’il s’est retrouvé dans l’impossibilité de travailler durant ses trois mois de préavis. Pour lui, cela signifie un limogeage. Il dit avoir réclamé ses indemnités dans une lettre au chairman. Mais jusqu’ici, comme on pouvait s’y attendre, c’est « Anne, ma sœur Anne ». D’où sa réclamation !
Le patron de One Moris réclame plus de Rs 8,6 millions en guise d’indemnités. Il dit avoir subi un grand préjudice. Dans sa plainte, Sherry Singh rappelle qu’il a été le CEO de Mauritius Telecom durant 5 ans. Il a démissionné le 30 juin 2022 en donnant un préavis de trois mois. Il avait aussi demandé un congé d’une semaine. Sa requête avait été agréée verbalement, allègue-t-il.
Cependant, au 1er juillet 2022, il a été déconnecté de l'annuaire actif de MT. De plus, toutes ses connexions avec Mauritius Telecom ont été coupées. Étonnant pour une entreprise opérant dans le secteur des télécommunications. Pour Sherry Singh, des mesures unilatérales ont été prises par Mauritius Telecom pour l’isoler et l'empêcher d'exercer sa fonction professionnelle. Il soutient qu’il s’est retrouvé dans l’impossibilité de travailler durant ses trois mois de préavis. Pour lui, cela signifie un limogeage. Il dit avoir réclamé ses indemnités dans une lettre au chairman. Mais jusqu’ici, comme on pouvait s’y attendre, c’est « Anne, ma sœur Anne ». D’où sa réclamation !