C’est le problème des corps paraétatiques ! Tout changement donne lieu à un mécontentement qui, s’il n’est pas jugulé, devient un problème politique.
La Mauritius Ports Authority, dont l’efficacité n’est pas incontestée et incontestable, n’est pas différent. Dans des récents entretiens de presse, le chairman de la Mauritius Ports Authority, Sanjiv Ghurburrun, a évoqué une éventuelle privatisation du service de remorquage. Cela a fait bondir un des syndicats des employés. Ses dirigeants parlent de catastrophe. Une manifestation a eu lieu hier matin au siège de l’organisme.
Pour les manifestants, c’est l’un des services les plus importants de l’organisme. Pour eux, une éventuelle privatisation signifierait des emplois en moins. Ils réclament une rencontre avec la direction. Car le service de remorquage de la MPA n’est pas ce qui se fait le mieux. Pas en termes du travail effectué, ce serait à travers cela que certaines « commissions » sont données.
D’ailleurs, la MPA n’a pas des remorqueurs de qualité et doit louer des navires à une société particulière, dont le principal dirigeant n’est pas un inconnu du secteur. Là, on parle de millions de roupies par an qui changent de main. Donc, au lieu de trouver une solution au problème, l’on réclame le statu quo pour préserver ses intérêts. Et qu’importe si, au final, c’est le pays qui perd.
La Mauritius Ports Authority, dont l’efficacité n’est pas incontestée et incontestable, n’est pas différent. Dans des récents entretiens de presse, le chairman de la Mauritius Ports Authority, Sanjiv Ghurburrun, a évoqué une éventuelle privatisation du service de remorquage. Cela a fait bondir un des syndicats des employés. Ses dirigeants parlent de catastrophe. Une manifestation a eu lieu hier matin au siège de l’organisme.
Pour les manifestants, c’est l’un des services les plus importants de l’organisme. Pour eux, une éventuelle privatisation signifierait des emplois en moins. Ils réclament une rencontre avec la direction. Car le service de remorquage de la MPA n’est pas ce qui se fait le mieux. Pas en termes du travail effectué, ce serait à travers cela que certaines « commissions » sont données.
D’ailleurs, la MPA n’a pas des remorqueurs de qualité et doit louer des navires à une société particulière, dont le principal dirigeant n’est pas un inconnu du secteur. Là, on parle de millions de roupies par an qui changent de main. Donc, au lieu de trouver une solution au problème, l’on réclame le statu quo pour préserver ses intérêts. Et qu’importe si, au final, c’est le pays qui perd.
