L’avocat Domingue se bat pour son champion Suren Dayal alors que l’avocat Basset représente Pravind Jugnauth. Ils ont croisé une première fois le fer ce matin. C’est Me Antoine Domingue qui est ressorti vainqueur. Mais ce n’est qu’une bataille préliminaire. Pour se tester, dirait-on.
Rappelons que Suren Dayal a logé une poursuite pénale privée contre Pravind Jugnauth en cour de district. Il lui reproche d’avoir menti au sujet de ses dépenses électorales. Il se base notamment sur les fameux Kistnen Paper. Le chef du gouvernement a, lui, répliqué en cour suprême. Il a logé une motion demandant le rejet de la Private Prosecution.
Ce matin, à l’appel de l’affaire, Me Antoine Domingue a soulevé une objection préliminaire. Il a indiqué que dans sa motion, Pravind Jugnauth aurait dû inclure le DPP comme partie prenante. Il y a eu débats sur le sujet. Car Me Désiré Basset a indiqué que, « contrairement à Cendrillon », le DPP n'a nullement besoin d’invitation pour se joindre à une affaire. « Le DPP a le pouvoir de décider de se joindre ou pas à cette affaire », a-t-il déclaré. De plus, a souligné Me Basset, il n’est nullement nécessaire pour le DPP d’être partie prenante de cette procédure car Pravind Jugnauth demande à la cour suprême d’utiliser ses prérogatives pour rejeter la Private Prosecution qui constitue un abus de procédure et n’est pas viable.
L’affaire a été renvoyée au 21 mars. Entretemps, les hommes de loi du Premier ministre devront amender leur motion et inclure le DPP.
Rappelons que Suren Dayal a logé une poursuite pénale privée contre Pravind Jugnauth en cour de district. Il lui reproche d’avoir menti au sujet de ses dépenses électorales. Il se base notamment sur les fameux Kistnen Paper. Le chef du gouvernement a, lui, répliqué en cour suprême. Il a logé une motion demandant le rejet de la Private Prosecution.
Ce matin, à l’appel de l’affaire, Me Antoine Domingue a soulevé une objection préliminaire. Il a indiqué que dans sa motion, Pravind Jugnauth aurait dû inclure le DPP comme partie prenante. Il y a eu débats sur le sujet. Car Me Désiré Basset a indiqué que, « contrairement à Cendrillon », le DPP n'a nullement besoin d’invitation pour se joindre à une affaire. « Le DPP a le pouvoir de décider de se joindre ou pas à cette affaire », a-t-il déclaré. De plus, a souligné Me Basset, il n’est nullement nécessaire pour le DPP d’être partie prenante de cette procédure car Pravind Jugnauth demande à la cour suprême d’utiliser ses prérogatives pour rejeter la Private Prosecution qui constitue un abus de procédure et n’est pas viable.
L’affaire a été renvoyée au 21 mars. Entretemps, les hommes de loi du Premier ministre devront amender leur motion et inclure le DPP.
