La saga de la directrice de Je T’aime Marketing Ltd n’est pas terminée. Marjorie Bazerque conteste la sentence de quinze mois de prison que la cour intermédiaire lui a infligée en mai 2017. Elle a donc fait appel de la sentence.
Et hier, lundi, l’audience en appel a démarré. Et comme on pouvait s’y attendre, l’homme de loi de Marjorie Bazerque a invoqué l’état de santé de sa cliente pour demander une sentence plus clémente, c’est-à-dire que la directrice de Je T’aime Marketing échappe à la prison.
Elle avait, rappelons-le, été condamnée pour émission d’un chèque sans provision. Le chèque était d’un montant de Rs 1,3 million. Elle avait plaidé non coupable.
Lundi, devant les juges Gaitree-Jugessur Manna et Benjamin Marie Joseph, l’avocat de Marjorie Bazerque a insisté que la sentence est « sévère et excessive ». Pour lui, dans le cas de sa cliente, des travaux communautaires auraient été mieux indiqués. Pour Me Raj Ramsaha, la magistrate a eu tort de ne pas considérer le fait que Marjorie Bazerque est malade et aveugle en décidant de l’envoyer en prison.
Le représentant du ministère public a contesté les arguments de l’avocat de Marjorie Bazerque, allant jusqu’à indiquer que la sentence infligée est « plutôt clément ».
Marjorie Bazerque est actuellement en liberté sous caution, en attendant l’issue de ce procès en appel.
Et hier, lundi, l’audience en appel a démarré. Et comme on pouvait s’y attendre, l’homme de loi de Marjorie Bazerque a invoqué l’état de santé de sa cliente pour demander une sentence plus clémente, c’est-à-dire que la directrice de Je T’aime Marketing échappe à la prison.
Elle avait, rappelons-le, été condamnée pour émission d’un chèque sans provision. Le chèque était d’un montant de Rs 1,3 million. Elle avait plaidé non coupable.
Lundi, devant les juges Gaitree-Jugessur Manna et Benjamin Marie Joseph, l’avocat de Marjorie Bazerque a insisté que la sentence est « sévère et excessive ». Pour lui, dans le cas de sa cliente, des travaux communautaires auraient été mieux indiqués. Pour Me Raj Ramsaha, la magistrate a eu tort de ne pas considérer le fait que Marjorie Bazerque est malade et aveugle en décidant de l’envoyer en prison.
Le représentant du ministère public a contesté les arguments de l’avocat de Marjorie Bazerque, allant jusqu’à indiquer que la sentence infligée est « plutôt clément ».
Marjorie Bazerque est actuellement en liberté sous caution, en attendant l’issue de ce procès en appel.