Après le journaliste Hugo Clément, c'est au tour de la militante Greta Thunberg, qui met en lumière ce qui se joue à Maurice, en relayant l'appel lancé par le groupe Fridays for Future-Mauritius.
La jeune militante écologiste suédoise Greta Thunberg et sa fondation qui luttent contre le réchauffement climatique ont décidé d'offrir un chèque de Rs 400 000 au mouvement "Global Friday for Future Mauritius". Elle a confirmé ce don dans un post sur Twitter:
Ce sont les responsables du mouvement mauricien qui l'ont sollicité directement via ce message: "Nous sommes en état d'urgence environnementale après un déversement d'hydrocarbures dans nos lagons! Les gens ont commencé à se mobiliser mais nous sommes une petite île tropicale aux ressources limitées. Pouvez-vous nous aider?Nous avons besoin d'équipements spéciaux pour éliminer le pétrole de nos côtes et de nos mers."
Greta Thunberg a aussi relayé l'appel aux dons lancé par l'ONG Eco-Sud mobilisée depuis le début de la crise. Pour l'instigatrice de la "grève de l'école pour le climat", il y a urgence. Les écologistes et les biologistes ont des craintes quant à la survie des espèces animales marines dans le lagon et sur le littoral.
La jeune militante écologiste suédoise Greta Thunberg et sa fondation qui luttent contre le réchauffement climatique ont décidé d'offrir un chèque de Rs 400 000 au mouvement "Global Friday for Future Mauritius". Elle a confirmé ce don dans un post sur Twitter:
Ce sont les responsables du mouvement mauricien qui l'ont sollicité directement via ce message: "Nous sommes en état d'urgence environnementale après un déversement d'hydrocarbures dans nos lagons! Les gens ont commencé à se mobiliser mais nous sommes une petite île tropicale aux ressources limitées. Pouvez-vous nous aider?Nous avons besoin d'équipements spéciaux pour éliminer le pétrole de nos côtes et de nos mers."
Greta Thunberg a aussi relayé l'appel aux dons lancé par l'ONG Eco-Sud mobilisée depuis le début de la crise. Pour l'instigatrice de la "grève de l'école pour le climat", il y a urgence. Les écologistes et les biologistes ont des craintes quant à la survie des espèces animales marines dans le lagon et sur le littoral.
