Santaram Mooloo aurait été parfait parmi l’orchestre qui jouait alors que le Titanic s’enfonçait dans l’eau glaciale. À entendre l’ancien directeur de l’environnement, on pense à la phrase « tout va bien madame la marquise ».
Santaram Mooloo soutient que la situation a été bien gérée. Il estime d’ailleurs que « les conséquences auraient pu être plus graves ». L’ancien directeur de l'Environnement a déposé devant la cour d’investigation ce matin. Il a surtout été questionné sur le déversement d'huile dans le lagon et la marée noire.
Son témoignage est des plus intéressants. Il a d’abord expliqué que c’était au département Shipping de décider s’il fallait pomper l'huile à bord du vraquier après le naufrage. Les responsables ont déclaré que les risques d'un déversement étaient minces. Donc, lui en tant que directeur de l’environnement, il était tout content de cette réponse. Mais malin, Santaram Mooloo affirme que cette information se trouve dans les procès-verbaux.
Il a aussi déclaré que le département de l’environnement n’était pas suffisamment équipé pour empêcher le déversement d'huile. Il a aussi déclaré que beaucoup de bouées anti-pollution n'étaient pas suffisamment solides pour contenir le courant. Il a aussi soutenu que l’aide des pays de la région serait mince. Il dit s’appuyer sur ce qui s’est passé après le naufrage du MV Benita en 2016. Ainsi, pour lui, les choses auraient pu avoir été pires. Tout est bien qui finit bien !
Santaram Mooloo soutient que la situation a été bien gérée. Il estime d’ailleurs que « les conséquences auraient pu être plus graves ». L’ancien directeur de l'Environnement a déposé devant la cour d’investigation ce matin. Il a surtout été questionné sur le déversement d'huile dans le lagon et la marée noire.
Son témoignage est des plus intéressants. Il a d’abord expliqué que c’était au département Shipping de décider s’il fallait pomper l'huile à bord du vraquier après le naufrage. Les responsables ont déclaré que les risques d'un déversement étaient minces. Donc, lui en tant que directeur de l’environnement, il était tout content de cette réponse. Mais malin, Santaram Mooloo affirme que cette information se trouve dans les procès-verbaux.
Il a aussi déclaré que le département de l’environnement n’était pas suffisamment équipé pour empêcher le déversement d'huile. Il a aussi déclaré que beaucoup de bouées anti-pollution n'étaient pas suffisamment solides pour contenir le courant. Il a aussi soutenu que l’aide des pays de la région serait mince. Il dit s’appuyer sur ce qui s’est passé après le naufrage du MV Benita en 2016. Ainsi, pour lui, les choses auraient pu avoir été pires. Tout est bien qui finit bien !
