« C'est pas juste ! C'est jamais juste ! c'est toujours à moi qu'on s'en prend ! C'est pas parce qu'on est petit et faible que... » , « C'est vraiment trop inzuste »... Franklin c'est un peu le personnage de fiction de dessin animé italien Calimero qui se plaint d'être une victime, avec le syndrome de persécution.
« Mo enn zanfan miser». «Est-ce ma réussite qui fait des jaloux ?» «Je suis très endetté et je n’ai pas les moyens pour quitter le pays.»...Jean-Hubert Celerine, alias Franklin, affirme être un entrepreneur. Lorsqu'on lui demande d'où provient sa richesse, il affirme qu’il est dans les affaires, soit qu’il est dans l’élevage, qu’il vend des voitures et qu’il est dans le commerce de la nourriture. Cette bonne âme charitable verserait aussi dans le sociale. Recherché à La Réunion pour trafic de drogue, Jean Hubert Célérine affirme de bonne foi, qu'il n'en savait rien. En effet, de son propre aveu il ne sait pas lire...mais il comprend. La débrouillardise mauricienne à son apogée "li conne trasé".
Malheureusement notre Gavroche a été interpellé le 7 février par l'Icac. Et comme tout le monde le sait, "l'Icac napa guett figir". Enfin si...mais bon.
Interrogé sur ses liens supposés avec le trafic de drogue, Franklin avait clamé à qui veut l'entendre « je n’ai jamais été arrêté pour un délit lié à la drogue. J’ai eu des démêlés avec la police, mais pas pour trafic de drogue. Il y avait une affaire de blanchiment d’argent. La commission anticorruption et la MRA avaient enquêté et tout est clair. J’ai payé mes impôts.»
Depuis, notre Caliméro tente le tout pour le tout pour retrouver la liberté. Hier, jeudi, Franklin a été appelé à la barre. Interrogé par son avocat, Yatin Varma, il a déclaré avoir été à l'étranger quatre ou cinq fois mais n'être jamais allé à la Réunion. Il a expliqué qu'il est père de cinq enfants, dont il s'occupe. Il a aussi dit qu’il souffrait du mal de mer. "Je ne peux pas tenir plus de cinq minutes sur un bateau", a déclaré Franklin. Il a ajouté qu'il préférait la rivière à la mer, même si son père était pêcheur.
Il a ajouté qu'il ne possédait pas de bateau et qu'il n'avait aucun lien avec des propriétaires d’embarcation ou des skippers. Franklin dit passer tout son temps avec sa famille et ses animaux. Il a ajouté qu'il se rend chaque dimanche à l'église Saint-Antoine, Port-Louis, où il faisait don de nourriture aux pauvres. " Je suis un homme simple, direct, honnête et généreux", a-t-il déclaré. Franklin a insisté sur le fait qu'il aime son pays et qu'il finira sa vie à Maurice. Franklin a également déclaré qu'il a toujours été à la disposition de la police et que s'il est libéré, il n'y a aucun risque qu'il fuie le pays.
« Mo enn zanfan miser». «Est-ce ma réussite qui fait des jaloux ?» «Je suis très endetté et je n’ai pas les moyens pour quitter le pays.»...Jean-Hubert Celerine, alias Franklin, affirme être un entrepreneur. Lorsqu'on lui demande d'où provient sa richesse, il affirme qu’il est dans les affaires, soit qu’il est dans l’élevage, qu’il vend des voitures et qu’il est dans le commerce de la nourriture. Cette bonne âme charitable verserait aussi dans le sociale. Recherché à La Réunion pour trafic de drogue, Jean Hubert Célérine affirme de bonne foi, qu'il n'en savait rien. En effet, de son propre aveu il ne sait pas lire...mais il comprend. La débrouillardise mauricienne à son apogée "li conne trasé".
Malheureusement notre Gavroche a été interpellé le 7 février par l'Icac. Et comme tout le monde le sait, "l'Icac napa guett figir". Enfin si...mais bon.
Interrogé sur ses liens supposés avec le trafic de drogue, Franklin avait clamé à qui veut l'entendre « je n’ai jamais été arrêté pour un délit lié à la drogue. J’ai eu des démêlés avec la police, mais pas pour trafic de drogue. Il y avait une affaire de blanchiment d’argent. La commission anticorruption et la MRA avaient enquêté et tout est clair. J’ai payé mes impôts.»
Depuis, notre Caliméro tente le tout pour le tout pour retrouver la liberté. Hier, jeudi, Franklin a été appelé à la barre. Interrogé par son avocat, Yatin Varma, il a déclaré avoir été à l'étranger quatre ou cinq fois mais n'être jamais allé à la Réunion. Il a expliqué qu'il est père de cinq enfants, dont il s'occupe. Il a aussi dit qu’il souffrait du mal de mer. "Je ne peux pas tenir plus de cinq minutes sur un bateau", a déclaré Franklin. Il a ajouté qu'il préférait la rivière à la mer, même si son père était pêcheur.
Il a ajouté qu'il ne possédait pas de bateau et qu'il n'avait aucun lien avec des propriétaires d’embarcation ou des skippers. Franklin dit passer tout son temps avec sa famille et ses animaux. Il a ajouté qu'il se rend chaque dimanche à l'église Saint-Antoine, Port-Louis, où il faisait don de nourriture aux pauvres. " Je suis un homme simple, direct, honnête et généreux", a-t-il déclaré. Franklin a insisté sur le fait qu'il aime son pays et qu'il finira sa vie à Maurice. Franklin a également déclaré qu'il a toujours été à la disposition de la police et que s'il est libéré, il n'y a aucun risque qu'il fuie le pays.
