C’est le serpent qui se mord la queue. La MTCSL veut désormais, à tout prix, obtenir sa licence d’organisateur de courses. Sauf que n’ayant plus d’hippodrome, la Gambling Regulatory Authority refuse de lui octroyer le fameux permis. Et n’ayant pas de permis, il ne récupérera pas le Champ de Mars.
Dans les deux cas, la MTCSL est coincée. Hier, au lendemain du jugement d’Aruna Narain, deux représentants de la compagnie se sont rendus au siège de la GRA pour procéder au paiement des frais de la licence. Mais ils ont essuyé un refus. Un nouveau ! La MTCSL se retrouve dans une situation plus que cocasse dans l’histoire. La Mairie de Port-Louis a récupéré la « concession de privilège » qui lui avait été octroyée. Sitôt la rétrocession faite, l’État a récupéré son terrain. Donc, la MTCSL ne peut avoir recours à la mairie de la capitale. Elle doit s’adresser à l’État qui, jusque-là, n’avait pas d’accord direct avec elle. Sans le Champ de Mars, bye-bye l’organisation des courses.
Dans les deux cas, la MTCSL est coincée. Hier, au lendemain du jugement d’Aruna Narain, deux représentants de la compagnie se sont rendus au siège de la GRA pour procéder au paiement des frais de la licence. Mais ils ont essuyé un refus. Un nouveau ! La MTCSL se retrouve dans une situation plus que cocasse dans l’histoire. La Mairie de Port-Louis a récupéré la « concession de privilège » qui lui avait été octroyée. Sitôt la rétrocession faite, l’État a récupéré son terrain. Donc, la MTCSL ne peut avoir recours à la mairie de la capitale. Elle doit s’adresser à l’État qui, jusque-là, n’avait pas d’accord direct avec elle. Sans le Champ de Mars, bye-bye l’organisation des courses.
