Les rouges s'offusquent de la façon dont certains journalistes sont traités dans le pays. Ils déplorent aussi un climat de terreur. Ils ont ainsi adressé une correspondance aux Nations unies, plus précisément au haut-commissaire des droits humains. La lettre est signée le Dr Arvin Boolell et Osman Mahomed, responsable des affaires étrangères au sein du PTr. Les deux dirigeants du PTr demandent aux Nations unies d’intervenir.